Laufzeitverlängerung von Cattenom: Kritisch zur Kernkraft

Die Luxemburger Regierung sieht eine mögliche Verlängerung der Laufzeit des Kernkraftwerks Cattenom kritisch. Damit folgt sie einem internationalen Trend.

(Foto: CC BY 3.0 Felix König/Wikimedia )

Am 11. September publizierte die hiesige Regierung eine Stellungnahme der Luxemburger „Division de la Radioprotection“ (DRP), die sich mit der geplanten Laufzeitverlängerung der französischen Kraftwerke mit 1.300 MWe („Megawatt electric“) Leistung auseinandersetzt. Vier dieser Kraftwerkeblöcke stehen in Cattenom, zwischen 2027 und 2033 werden sie alle vierzig Jahre in Betrieb sein und sind damit eigentlich am Ende ihrer vorgesehenen Laufzeit angelangt. Wie alle Reaktoren dieses Typs sollen sie daher aufgerüstet werden, um ihre Sicherheit zu verbessern. mehr lesen / lire plus

Contre le nucléaire, contre la Commission

L’extension de la centrale de Hinkley Point a mis longtemps avant d’être approuvée par les gouvernements britannique et français, notamment à cause des risques financiers énormes. Ce jeudi ont eu lieu les plaidoiries relatives à la plainte devant la Cour de justice de l’Union européenne, qui maintient un niveau élevé d’insécurité autour du projet. L’Autriche, soutenue par le Luxembourg, reproche en effet à la Commission européenne d’avoir autorisé les aides d’État britanniques. Le grand-duché, en tant qu’ennemi déclaré de l’énergie nucléaire, insiste en particulier sur l’incompatibilité de Hinkley Point avec les objectifs de l’Union. Ce projet ne serait pas neutre en CO2, puisque le traitement du combustible conduit à des émissions considérables. mehr lesen / lire plus

Royaume-Uni : Europe non, nucléaire oui !

« Le gouvernement britannique continue à faire fausse route en matière de politique énergétique », a fait savoir Claude Turmes en réaction à l’annonce du feu vert pour la construction du réacteur nucléaire Hinkley Point C. Pour le député européen vert, il s’agit d’un « investissement mal avisé, lourd de plusieurs milliards, aux frais du contribuable ». Cette décision intervient alors qu’en août, EDF et Downing Street avaient soufflé le chaud et le froid : le groupe français avait donné son accord final, mais le gouvernement britannique avait continué à hésiter. Or ce n’était pas le coût qui inquiétait le gouvernement, puisque la garantie du tarif de rachat exorbitant de 117 euros par MWh en faveur d’EDF est maintenue. mehr lesen / lire plus

De Bure à Hinkley Point : mille doutes

1383kus-Hinkley-BureQui l’eût cru ? La complaisance des institutions de la République à l’égard du nucléaire n’est pas sans limites. À Bure, l’Agence pour la gestion des déchets radioactifs avait entamé des travaux en vue de la construction du centre de stockage prévu à cet endroit. Des associations et des habitants avaient porté plainte contre la destruction de la forêt, conduite sans autorisation ni étude d’impact. Le tribunal de Bar-le-Duc vient de leur donner raison. Les associations s’en réjouissent et appellent à des manifestations festives à Bure du 13 au 15 août. Ailleurs aussi, les pronucléaires rient jaune. En effet, le 28 juillet, le CA d’EDF a donné le feu vert pour la construction des réacteurs EPR de Hinkley Point en Angleterre. mehr lesen / lire plus

La logique et le Luxembourg contre Hinkley Point

Autour du projet anglo-français d’une centrale nucléaire de 3e génération à Hinkley Point, les difficultés s’accumulent. Mercredi dernier, le directeur d’EDF au Royaume-Uni a refusé de donner aux parlementaires anglais la date de lancement du projet. Ceux-ci s’intéressent de près à une installation envers laquelle Londres s’est engagé à garantir un prix de rachat au kilowattheure largement supérieur au prix de marché actuel. Pourtant ce deal en or ne change rien aux difficultés financières dans lesquelles EDF se débat depuis des années. La perspective d’investir plus de 20 milliards d’euros dans un projet malgré tout risqué comme Hinkley Point avait d’ailleurs amené son directeur financier à démissionner le mois dernier. mehr lesen / lire plus