Alors que la santé mentale est en train de devenir une préoccupation prépondérante dans le contexte pandémique, le Luxembourg s’avance enfin à très petit pas vers une prise en charge des soins psychothérapeutiques. Ce qui est une normalité dans nos pays voisins pourrait donc bientôt devenir une réalité ici. Car cette semaine, le règlement grand-ducal « portant réglementation des relations entre la Caisse nationale de santé (CNS) et le groupement représentatif de la profession de psychothérapeute » a finalement vu le jour. Après d’âpres batailles entre la CNS, le groupement des psychothérapeutes, Fapsylux, le gouvernement et le Conseil d’État, ce règlement permettra enfin d’avancer vers des psychothérapies remboursées par la CNS. 
Die „Fédération des associations des psychothérapeutes du Luxembourg“ (Fapsylux) und die „Caisse nationale de santé“ (CNS) kommen in puncto Kostenrückerstattung auf keinen grünen Zweig. Fapsylux ist dennoch zuversichtlich.
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Auch der zweite Anlauf ist missglückt: Am 17. Dezember teilte die Fapsylux mit, dass es bezüglich der Konvention zur Kostenrückerstattung psychotherapeutischer Behandlungen auch nach einer „procédure de médiation“ keine Einigung mit der CNS gibt. Im Januar hatten beide Parteien die Verhandlungen aufgenommen. Die Deadline: Juli 2018. Die Unterschriften blieben aus. In einem Interview mit dem Radiosender 100,7 verriet Lara Erpelding, Vize-Präsidentin der Fapsylux, damals woran es scheiterte: an der Kategorisierung der Krankheitsbilder. mehr lesen / lire plus
