Intégration politique : Pourquoi voter « nee » ?

Répondre à la question sur le droit de vote des résidents étrangers est moins évident qu’il n’y paraît. À la timidité et à l’aveuglement des défenseurs du oui, ne faudrait-il pas opposer un non revendicatif et protestataire ?

Queue devant un bureau de vote dans le quartier multiculturel de Brooklyn. Accorder le droit de vote à de nouveaux groupes de personnes ne suffit pas pour que celles-ci participent réellement aux suffrages. (© APRIL SIKORSKI / CC-BY-SA 2.0)

Le oui au droit de vote pour résidents étrangers donne lieu à un large consensus au sein du mainstream politique et médiatique… et bien au-delà. mehr lesen / lire plus

VOTE DES ÉTRANGERS: Ecueils surmontables

Le rapport du Cefis sur la participation des étrangers aux élections communales de 2011 revient sur le taux de 17 pour cent et en donne partiellement les raisons.

La participation est ouverte à tous, mais reste encore à la populariser.

Avant même que les experts du Cefis aient pu entamer la présentation de leur rapport, le ministre de l’Intérieur Jean-Marie Halsdorf a tenu à mettre en évidence les limites politiques de son action et à tirer hors de la ligne de mire ses services : « Je ne laisserai pas dire que c’est à cause des autorités communales que le taux de participation des étrangers n’a pas dépassé les 17 pour cent.  mehr lesen / lire plus