D’Joer geet op en Ënn, Zäit fir „Um Canapé mat der woxx“ e kulturpolitesche Réckbléck ze woen: Wat ware fir d’Ex-Kulturministesch Sam Tanson (Déi Gréng) Héichpunkter? Zu wat ass si net komm? A wat hält si vum neie Koalitiounsaccord?
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D’Deputéiert Sam Tanson (Déi Gréng) huet no de leschten Nationalwalen am Oktober zwar hire Büro als Kulturministesch misse raumen, mä de Recht vum Joer huet si kulturpolitesch Debatten an der Regierung gefouert. Zesumme mam Isabel Spigarelli (woxx) léisst si d’Joer Revue passéieren: Wat war mam Konflikt ronderëm de Bâtiment4 zu Esch? Wat hëlt si mat aus dem Tëschebilan vum Kulturentwécklungsplang? mehr lesen / lire plus
« Nous ne vendons pas notre âme pour atteindre des compromis. » La déclaration de la présidente Francine Closener, ce mercredi, donne l’image d’un parti combatif, qui refuse fièrement de se laisser entraîner sur une pente antisociale en négociant avec le CSV. Le hic, c’est que ce refus est formulé à un moment où il n’y a plus rien à refuser – le LSAP a été mis hors jeu par Luc Frieden. 
« Écoute la voix, t’as rien à perdre » (Lauschter d’Stëmm, du hues näischt ze verléieren). En fin d’après-midi, les résultats partiels tombent : les verts perdent massivement, l’ADR gagne, les deux sièges Déi Lénk sont incertains. À l’intérieur, ils et elles chantent à tue-tête l’hymne de Déi Lénk, composé par Serge Tonnar, pour se réconforter. « Les gens ont senti la dynamique », déclame Gary Diderich, tête de liste dans le Sud. Évoquant le risque que le parti ne soit plus représenté au parlement, il parle d’espoir, d’engagement, de « la voix », encore de l’espoir… « et sinon, au moins on portera cette voix dans la société civile ». 
