Kapitalismuskritik: Die Kluft
Problem mit System: Der Starökonom Joseph E. Stiglitz zeigt, dass extrem ungleiche Gesellschaften nicht stabil funktionieren können. Anders als Marktliberale glauben möchten, sind sie daher nicht einmal effizient.
Mit Keynes den amerikanischen Traum verwirklichen? Der Kapitalismusklempner Stiglitz macht dem Marktliberalismus die Rechnung auf. (Foto: Wikimedia Commons)
Jeremy Rifkin kann es, Paul Krugman kann es – und Joseph E. Stiglitz kann es selbstverständlich auch: International renommierte Wirtschaftswissenschaftler wie sie haben es nicht nur verstanden, ihre akademischen Lorbeeren als Berater von Regierungen und Organisationen zu versilbern, sondern sind auch als Bestsellerautoren weltweit bekannt geworden.
Rifkin wurde mit „Das Ende der Arbeit und ihre Zukunft“ und „Die Null-Grenzkosten-Gesellschaft“ bekannt und berät mittlerweile unter anderem die luxemburgische Regierung. mehr lesen / lire plus
Wer kennt schon Somaliland? Somaliland im Norden von Somalia wurde 1991 nach blutigen Kämpfen unabhängig, ist aber international weitgehend isoliert. Die Sängerin Sahra Halgan, die an den Kämpfen teilnahm, lebt nach 20 Jahren im französischen Exil jetzt wieder in ihrer Heimat. Zusammen mit den Franzosen Maël Salètes (Gitarren) und Aymeric Krol („strange“ Drums) hat sie das Album Faransiskiyo Somaliland eingespielt, auf dem eine Tuareg-Gitarre auf äthiopische Vokalartistik zu treffen scheint. Während Gruppen wie Tinariwen aus Mali zur Monotonie neigen, ist dieses Trio enorm abwechslungsreich und vereint akustische Tradition mit elektrischer Moderne. Mit Faransiskiyo Somaliland haben die Musiker ein spannendes Album zustande gebracht, das auch eine 45-minütige, aufschlußreiche DVD-Dokumentation enthält. 
« Mon principe, c’est de dire un maximum de choses avec un minimum de mots. » Nous voilà prévenus : avec Anise Koltz, pas de flots de paroles, pas de digressions, mais une concentration de phrases qui n’a pas peur de s’arrêter et de laisser place au silence. N’a-t-elle d’ailleurs pas écrit : « J’empile paroles et jours / dans ma tête » ? 
Une petite pause de louanges et d’autocongratulations pour le cinéma luxembourgeois et ses nombreuses coproductions à l’occasion des 25 ans du Film Fund, et la quête de nouvelles récompenses peut reprendre. En ce mois de janvier, les regards se tournent donc vers Sundance, le plus important festival américain de films indépendants, diapason de la distribution en salles pour l’année. La coproduction luxembourgo-hollando-irlandaise « Mammal », de la réalisatrice Rebecca Daly avec l’actrice australienne Rachel Griffiths (« Six Feet Under ») figure dans la compétition pour les films étrangers. Le film raconte l’histoire d’une femme qui, après la perte d’un fils adolescent, s’engage dans une relation ambiguë avec un jeune sans-abri. 
Tout a commencé avec une question sur le moteur de recherche le plus puissant de la planète, il y a quelques années. En tapant : « La ville la plus dangereuse du monde », les sœurs Krecké sont tombées sur Ciudad Juárez au Mexique (entre-temps, elle a été reléguée à la 20e place). Une ville qu’elles avaient déjà croisée au cours d’un de leurs précédents périples américains et dont elles savaient la sombre histoire des féminicides. 
Tous les clichés du film de sport y passent, c’est vrai. Mais Sylvester Stallone est finalement plus sympathique en has-been qu’en boxeur qui en veut, et Michael B. Jordan se débrouille pas mal dans le rôle du « fils de » qui doit assumer un héritage compliqué. Quant au réalisateur Ryan Coogler, il a la bonne idée de ne pas trop forcer sur les scènes de boxe avant, évidemment, le grand finale. Moins sportif, plus émotionnel : une agréable surprise.
