Bodycams: Vorgegaukelte Objektivität

In den vergangenen Monaten stieß der Gesetzentwurf zur Einführung von Bodycams für Polizist*innen auf Kritik. Während die einen sich einen präziser formulierten Text wünschen, stellen andere die Datenlage, mit welcher der Einsatz solcher Kameras gerechtfertigt wird, grundsätzlich infrage.

Tritt das Gesetz so wie vorgesehen in Kraft, sind ab nächsten Jahr 1.682 Polizist*innen mit Bodycams ausgestattet. (Sanderflight/wikimedia commons)

Im Koalitionsabkommen war es vorgesehen, nun soll es Realität werden: Die Polizei wird mit Bodycams ausgestattet; seit August 2022 liegt der entsprechende Gesetzentwurf vor. Er soll legale Klarheit bezüglich gleich mehrerer Aspekte schaffen: Unter welchen Umständen können Bodycams aktiviert werden? Wer erhält Zugang zu den Aufnahmen? mehr lesen / lire plus

Retraites en France : « On nous marche sur les pieds »

La première journée de mobilisation contre la réforme des retraites en France, ce jeudi 19 janvier, a été un franc succès pour ses organisateurs : 2 millions de personnes ont défilé dans 200 villes françaises, selon les syndicats, 1,1 million selon la police. À Metz, quelque 13.000 manifestant-es ont rejoint le cortège pour dire leur refus d’une réforme jugée financièrement inutile et socialement injuste.

Manifestation Metz retraites 19 janvier 2023

La mobilisation contre la réforme des retraites agrège d’autres revendications. (Photos : Fabien Grasser)

L’intersyndicale espérait 10.000 participant-es à la manifestation de Metz. Ils sont finalement 13.000 à défiler ce jeudi 19 janvier dans le chef-lieu du département, selon Dimitri Norsa, secrétaire général de la CGT en Moselle. mehr lesen / lire plus

Piilux : « Le texte de la Constitution est certes progressiste, mais… »

Six mois avant l’entrée en vigueur de la nouvelle Constitution luxembourgeoise, la « Plateforme immigration et intégration Luxembourg » (Piilux) a organisé cette semaine une table ronde sur le texte reformé. Antoni Montserrat Moliner et Franco Barilozzi, tous deux membres de la plateforme, ont abordé avec le woxx certains passages douteux, le droit de vote aux élections communales pour les non-Luxembourgeois-es ainsi que le sort des femmes migrantes.

Lors d’une réunion d›information sur la réforme constitutionnelle en 2021, les député-es ont bien répondu aux questions des citoyen-nes, mais Piilux aurait apprécié une plus grande participation, par exemple par le moyen d›un référendum.

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Platzverweis: Keine Geste der Nächstenliebe

Wenn RTL mit Sätzen wie „Kal Nuechten: D’Police soll d’Sans-abrien aus Hausagäng an der Stad ewechhuelen“ titelt, dann sind die stigmatisierenden Facebook-Kommentare schon vorprogrammiert. „Schaffe gon heleft och“, liest man dann etwa. Konsequente Content-Moderation ist auch 2022 noch ein Fremdwort für RTL. Seit das Gesetz zum Platzverweis im vergangenen Jahr deponiert und im Juli dieses Jahres in der Chamber gestimmt wurde, ist Obdachlosen-Bashing so salonfähig wie nie. Da hilft es auch nichts, dass die hauptstädtische Bürgermeisterin Lydie Polfer (DP) beim rezenten City Breakfast, von welchem RTL in oben erwähntem Beitrag berichtet, versucht, sich so politisch korrekt wie möglich auszudrücken. „An der Stad muss keen dobausse schlofen!“, mehr lesen / lire plus

Zehn Jahre InfoMann: „Männer müssen sich emanzipieren“

Ein ganzes Jahrzehnt ist vergangen, seit das damalige Gleichstellungsministerium die Gründung der Beratungsstelle InfoMann veranlasste. Wir haben mit zwei aktuellen Mitarbeitern über ihre Arbeit und über ihre Zukunftswünsche gesprochen.

Francis Spautz (l.) ist Psychologe und Leiter der Beratungsstelle Infomann; Alex Carneiro ist Sozialpädagoge. (Copyright: woxx)

woxx: In einer Pressemitteilung, die sie letzte Woche verschickten, sprachen Sie negative Vorurteile gegenüber InfoMann an. Sie benutzten die Begriffe „malentendus“, „moqueries“ und „animosités“. Können Sie ein wenig ausführen, was Sie damit meinten?


Francis Spautz: Seit der Gründung von InfoMann bin ich immer wieder, sowohl hier im Viertel (gemeint ist Bonneweg; Anm. d. Red.) als auch in meinem Bekannten- und Freundeskreis, auf sehr unterschiedliche Reaktionen gestoßen. mehr lesen / lire plus

Opfer von sexuellem Missbrauch: „Wir haben alle lebenslänglich bekommen“

Am Dienstag hatte die Erwuesse
Bildung zu einem Rundtischgespräch über sexuellen Missbrauch eingeladen. Dabei kamen Pädagog*innen, Psycholog*innen und Betroffene zu Wort.

Charel Schmit, Ana Pinto, Aline Hartz, Danièle Maraite und Modaratorin Nora Schleich (v.l.n.r.) diskutierten am Dienstag zusammen mit dem Publikum über die Problematik des sexuellen Missbrauchs. (Copyright: Hülya Atasoy/EwB)

„Wenn ein Kind seinem Opa oder seiner Oma zur Begrüßung keinen Kuss geben möchte, sollte das respektiert werden.“ Diese banale Forderung, die am Dienstag im Rahmen eines Rundtischgesprächs geäußert wurde, hängt mit einer ernsten Problematik zusammen: sexuellem Missbrauch.

Um über dieses Thema zu sprechen, hatte die ErwuesseBildung (EwB) vier Gäste eingeladen: Aline Hartz vom Kanner-Jugendtelefon (KJT), Danièle Maraite vom Planning Familial (PF), den Ombudsman fir Kanner a Jugendlecher (OKaJu) Charel Schmit, und die oben zitierte Ana Pinto. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (et 10/10) : « Une main lave l’autre, les deux lavent le visage »

Né au Kosovo en 1977 et arrivé au Luxembourg en 1998, Fatos Krasniqi est, depuis 2012, avec son frère Zeqir, le patron de l’hôtel Zurich et de la brasserie Barbarella.

Photo : Paulo Lobo

Je suis venu pour demander la protection internationale. Au Luxembourg, j’ai ressenti pour la première fois ce qu’était la liberté. Au début, je pensais que je rentrerais, mais je suis resté. Je me suis bien intégré et ai fondé une famille. Mes frères sont aussi restés. L’un d’eux, Dervish, est même devenu fonctionnaire au ministère de l’Éducation nationale ! Ma sœur est en Allemagne. J’ai rencontré de bonnes personnes qui m’ont donné du travail. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (9/10) : « Là où il y avait le Victory… »

Le 23 septembre 2010, Casa Fabiana a ouvert ses portes. Nous fêtons cet anniversaire avec son alma mater, Fabiana Bartolozzi. Éducatrice de formation, elle a eu vers la quarantaine l’idée d’ouvrir un restaurant.

Photo : Paulo Lobo

Lorsqu’une amie m’a dit : « Là où il y avait le cinéma Victory, on a tout démoli… Ne serait-ce pas une bonne place pour le restaurant ? », j’ai un peu hésité. Or, je me suis dit que le cinéma Victory était lié à ma jeunesse. J’habitais alors à Bertrange et je venais à la gare de temps en temps. J’aimais bien le cinéma Victory et le Marivaux, et j’achetais toujours dans un très bon magasin de sport avenue de la Gare. mehr lesen / lire plus

Frauenrechte: Besorgniserregende Weltlage

„At the current rate of progress, it may take close to 300 years to achieve full gender equality“, zu dieser Feststellung kommen die Vereinten Nationen (UN) in einem neuen Bericht. Als Faktoren, die die Diskriminierung von Frauen und Mädchen verstärken, werden unter anderem die Pandemie und ihre Nachwehen, bewaffnete Konflikte und die Klimakrise genannt. Davon am meisten betroffen seien die Bereiche Bildung, Sicherheit, Einkommen und Gesundheit. Im Jahr 2020, ist im Bericht zu lesen, erforderten die pandemiebedingten Schulschließungen weltweit 672 Milliarden zusätzliche Stunden an Kinderbetreuung. Es wird geschätzt, dass Frauen davon 512 Milliarden Stunden stemmen mussten. Außerdem hätten Frauen 2020 weltweit 800 Milliarden US-Dollar an Einkommen verloren. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (8/10) : Le flair de la grande ville

Dans les années 1976-1977, Germain Bintz quitte Howald et s’installe dans le quartier de la gare, rue Origer.

Photo : Paulo Lobo

C’était un appartement très chouette. J’aimais bien les autres résident-es de l’immeuble : Mme Jeanne, qui tenait le magasin de lingerie en bas, très gentille mais très énergique, une autre vieille dame qui me disait qu’elle priait pour moi chaque soir, une famille portugaise et, surtout, Johnny Glesener, l’un des pionniers de la musique swing et jazz au Luxembourg, pianiste et arrangeur, qui a consacré toute sa vie à la musique. Avant la guerre, il avait tourné dans toute l’Europe. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (7/10) : D’une langue à l’autre

Kabirou Adjibade, plus connu comme Kabi, est bénino-togolais. Il réside au Luxembourg depuis 1998.

Photo : Paulo Lobo

J’ai déposé mes valises au quartier de la gare, rue Glesener. Mon projet professionnel était de continuer mes études, mais ma femme travaillait, nous avions une fille et j’ai dû me lancer dans la vie active. Tout d’abord, j’ai travaillé quelques mois dans un cabinet d’avocats, mais la vie de bureau n’est pas faite pour moi. Ensuite, je suis resté à la maison pour m’occuper de ma fille, en bénéficiant du congé parental, qui venait de se mettre en place au Luxembourg. En 2001, j’ai travaillé au Books and Beans, qui se trouvait sur l’avenue de la Liberté. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (6/10) : Que la vie reprenne

Né au Luxembourg de parents originaires de Bari – « Ils sont arrivés au Luxembourg il y a à peu près 60 ans. Ils étaient très jeunes : mon père devait avoir 16 ans et ma mère 18 » –, Franco Anelli est le patron du Lord Nelson, pub historique placé à mi-chemin entre le quartier de la gare et le centre-ville. Pendant une bonne trentaine d’années et jusqu’à 2012, son père a géré l’emblématique « after » Saumur.

Photo : Paulo Lobo

Franco Anelli : Après le Pfaffenthal, Bonnevoie et rue Beaumont, quand j’avais dix ans, nous nous sommes installés à Gasperich. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (5/10) : Vie de quartier

Originaire de Madrid, Alejandra Manzano Valle est arrivée à Luxembourg en février 2000 afin de travailler pour une institution européenne. Les premiers temps, elle a habité à l’hôtel Molitor et à l’hôtel Italia. Elle a fait de la gare son quartier.

Photo : Paulo Lobo

Alejandra Manzano Valle : À l’hôtel Molitor, je prenais le petit déjeuner dans la cafétéria, et quand je voyais arriver le bus, je sortais en courant pour l’attraper ! C’est là que j’ai compris quel était l’un des points positifs de ce quartier : il est très bien connecté ! Je suis restée ensuite presque deux mois à l’hôtel Italia, parce que cela a pris du temps de trouver un appartement, pour moi qui étais venue seule. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (4/10) : Dans l’air du temps

L’hôtel Carlton est devenu hôtel Perrin. Gwendolyne Schommer, fille du propriétaire et cogérante, nous raconte.

Photo : Paulo Lobo

Gwendolyne Schommer : Mon arrière-grand-père paternel s’appelait Perrin, était entrepreneur et a fait construire le bâtiment, avec l’idée initiale de le vendre. Or celui-ci est devenu un hôtel. La famille Perrin est restée la propriétaire des murs. Un locataire a nommé l’hôtel Carlton. En 2020, nous avons décidé de raviver les traces de l’histoire familiale.

C’était votre projet, de relayer votre père dans la direction de l’hôtel ?


J’ai fait des études en communication visuelle et je n’avais jamais pensé travailler dans le milieu familial. mehr lesen / lire plus

Wahlvorschläge vom Nohaltegkeetsrot: Konsequent ökologisch, verworren liberal

Wenn es um den ökologischen Fußabdruck Luxemburgs geht, steht der Nohaltegkeetsrot für eine globale Sichtweise. Doch bei den sozialen Fragen hat er den Überblick verloren.

Viele Ideen, wenig Zusammenhänge – eines der Probleme des Nohaltegkeetsrot. (Pixabay; arodsje)

Braucht Luxemburg einen dritten Rat, einen „Conseil écologique et social“, um ein Gleichgewicht zwischen den „drei Säulen der Nachhaltigkeit“ herzustellen? Zumindest bestätigt das jüngste Positionspapier des Nohaltegkeetsrot („Conseil supérieur pour un développement durable“, CSDD), dass sich dieses Gremium zu einem Sprachrohr für die Interessen von Wirtschaft und Umwelt entwickelt hat. Die Gewerkschaften, die paritätisch im „Conseil économique et social“ (CES) vertreten sind, scheinen beim Thema Nachhaltigkeit an den Rand gedrängt worden zu sein. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (3/10) : Un Chicago bon enfant

Si vous passez dans la rue de Reims, votre attention sera captée par les vitrines bigarrées de la galerie Painture Calon, un établissement où Philippe et Christel Calon fabriquent et vendent du pain (bio)logique, où sont exposés des dessins du jeune Jeremy, leur petit-fils, où l’on peut découvrir le travail de peintres cubains, feuilleter des livres d’art en espagnol ou regarder des photos de Cuba, des portraits de Fidel Castro et de Jean-Paul Belmondo, ce dernier avec à ses côtés Philippe Calon !

Photo : Paulo Lobo

Né le 21 décembre 1942 à Tourcoing, d’une mère eschoise, Philippe Calon est arrivé au Luxembourg en 1957. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (2/10) : Une femme indépendante

Originaire de Tondela, Amelia Gomes 
avait 16 ans à son arrivée au Luxembourg, en 1986. Elle habitait chez des oncles. À 18 ans, elle n’est pas rentrée, comme elle le souhaitait initialement.

Photo : Paulo Lobo

J’ai trouvé du travail dans la restauration et en trois mois j’ai appris le français. De la plonge, je suis vite passée au service des tables. Je suis restée dix ans dans ce secteur. J’ai abandonné l’idée de rentrer : je me suis habituée au Luxembourg et j’y ai rencontré mon futur mari et père de mes deux enfants.

Et l’épicerie Melita a démarré.


Mes beaux-parents et moi avons repris le magasin, qui existait depuis longtemps et avait eu des propriétaires luxembourgeois, italiens et portugais. mehr lesen / lire plus

Passé colonial du Luxembourg : « Il n’y a aucune volonté de traiter cette question »

Sandrine Gashonga, cofondatrice de Lëtz Rise Up, analyse la table ronde « Lëtzebuerg : e koloniale Staat » et le traitement du passé colonial du Luxembourg. Un entretien.

Sandrine Gashonga est militante, cofondatrice de Lëtz Rise Up, consultante et formatrice antiraciste et interculturelle. COPYRIGHT: Sophie Amzat

woxx : Vous avez participé à la table ronde « Lëtzebuerg : e koloniale Staat ? » du Musée national d’histoire et d’art (MNHA), le 2 juin. Une table ronde qui a été thématisée dans les médias, entre autres à cause des propos racistes exprimés. Est-ce qu’il y a eu des suites ?

Sandrine Gashonga : Non, il n’y a pas eu de suites, mis à part un entretien avec Kevin Goergen, de l’Université du Luxembourg, qui mène l’étude sur le passé colonial du Luxembourg, pour discuter de ce qui s’est passé : je pense que pour lui c’est nécessaire de créer des liens avec les activistes qui travaillent sur cette question. mehr lesen / lire plus

Luxemburgs Kolonialvergangenheit: „Comment réparer les dommages faits par la colonisation ?“

Das Rundtischgespräch „Lëtzebuerg: e koloniale Staat?“ sorgte Anfang Juni unter anderem durch die darin vertretenen rassistischen Positionen für Diskussionsstoff. Doch wie sieht eine Debatte auf Augenhöhe zu diesem Thema aus? Und was haben Feminismus und Museen damit zu tun? Vier Aktivist*innen suchen und geben Antworten.

Antónia Ganeto, Sprecherin von Finkapé, stellt fest, dass die Debatte über Rassismus und Kolonialismus zum Trend wird, doch zu wenig über Methoden, Ziele und den Einfluss auf Menschen nachgedacht werde. (© Baye Gallo Saar)

Monique Faber, Moderatorin des Rundtischgesprächs „Lëtzebuerg: e koloniale Staat?“ stellte bei der Präsentation von Antónia Ganeto (Sprecherin von Finkapé), Alpha* (Mitglied von Richtung22) und Sandrine Gashonga (Mitbegründerin von Lëtz Rise Up) gleich zu Beginn deren Bezug zu Luxemburg klar – anders als bei den weißen Gästen wie dem Kooperationsminister Franz Fayot (LSAP), dem Abgeordneten Fernand Kartheiser (ADR) und Kevin Goergen (Universität Luxemburg): Rassismus zum Auftakt, der sich wie ein roter Faden durch die Veranstaltung vom Nationalmuseum für Geschichte und Kunst (MNHA), am 2. mehr lesen / lire plus

Que reste-t-il de nos amours ? (1/10) : La passion du métier

Le 30 mars 2020, Savino Daloia nous confiait : « Je pense qu’une nouvelle poissonnerie ouvrira ses portes au même endroit. » Deux ans plus tard, au 31, rue de Strasbourg se trouve Thym & Citron, et la poissonnerie Kraken pointe son nez en face.

Photo : Paulo Lobo

À la base, une alliance : depuis décembre 2021, Florent Demesmaeker et Gérald Polis travaillent en collaboration avec Nico Daloia et Elvira Marchand.


Nico : Elvira et moi n’aurions pas pu rouvrir tout seuls.

Florent : Et nous non plus. Il nous fallait des gens avec de l’expérience.

Elvira : Pour moi, le plus important, c’était de revoir mes clients. mehr lesen / lire plus