Mit Nazis für die Freiheit demonstrieren?

Der „Sturm“ auf den Reichstag konnte zwar dank Polizeieinsatz verhindert werden, trotzdem ist die Querfront, die sich da bildet in vielerlei Hinsicht bedenklich.

(Screenshot Facebook)

Das Schwurbel-Virus, das mit Corona in unsere Gesellschaften Einzug gehalten hat, ist mitunter infektiöser als das eigentliche Virus. In Zwischenzeit dürften alle über mindestens eine Person in ihrem Umfeld mit Verschwörungstheorien rund um den Lockdown, die Maskenpflicht oder die reine Existenz des Virus in Berührung gekommen sein. Oder aber mit Personen, die Sympathien hegen für jene, die am Samstag in Berlin demonstrierten – ob nun Nazis, Antisemit*innen und Reichsbürger*innen mitliefen oder nicht.

Das Problem ist dabei nicht nur, dass wer da mitläuft, sich mit Rechtsextremen verbündet, sondern auch umgedreht: Indem sich die Rechtsextremen in die Ränge besorgter Bürger*innen, Kinder, Esoteriker*innen und einigen Linken einreihen konnten, wurden sie von letzteren auch noch salonfähig gemacht.

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Exposition historique : Rien de nouveau

L’exposition « State of Deception – The Power of Nazi Propaganda » aurait pu s’avérer un outil intéressant pour établir des parallèles avec notre époque. Malheureusement, il s’agit juste de panneaux importés qui n’apportent aucune nouvelle information.

La propagande était l’outil de choix du parti national-socialiste allemand pour d’abord s’arroger le pouvoir en 1933 puis endoctriner les masses, avant de l’utiliser pour justifier l’entrée en guerre, les génocides et les sacrifices ultimes dans une Allemagne qui avait de toute façon perdu toutes les batailles. De ce point de vue, « State of Deception – The Power of Nazi Propaganda » démontre bien la continuité de la propagande ainsi que la mise en place de stratégies médiatiques ultramodernes pour l’époque afin de persuader le peuple qu’Adolf Hitler était celui qui le sauverait. mehr lesen / lire plus

Migration : Appel des comités internationaux des camps de concentration nazis

Juifs français internés à Drancy, le 1er août 1941. (Photo : Bundesarchiv)

À l’initiative de l’Associazione nazionale ex deportati nei campi nazisti (ANED), les responsables des comités internationaux des camps de concentration nazis se sont réunis à la Casa della Memoria à Milan, le 1er juillet dernier, pour lancer un appel devant les menaces avérées contre la mémoire et l’avenir de l’Europe et de ses citoyens.

Les signataires sont notamment indignés par « la réponse de certains États européens devant l’arrivée de réfugiés poussés par la guerre et la misère », qui au lieu d’offrir un accueil humanitaire aux réfugié-e-s prônent la fermeture de leurs frontières. mehr lesen / lire plus