Magazine satirique : Psikopat devient Mazette

Une époque s’est terminée quand en novembre dernier est tombée la nouvelle de la fermeture de « Psikopat », magazine français de comics déjantés et engagés, mais la relève vient de pointer son bec – sur le net.

(© MazetteMédia)Pour un long voyage en train ou un séjour à la plage, quoi de mieux qu’une lecture drôle, légère et engagée ? Avec ses dessins souvent absurdes, ne craignant pas les grosses vannes scatophiles et sexuelles propres à faire fuir les cathos comme les bien-pensant-e-s, « Psikopat » était un média de choix. Fondé en 1982 par le dessinateur Carali (Paul Karali au civil et frère d’Édika, dessinateur connu pour ses nombreuses collaborations à l’autre phare de l’humour dépassant les bornes, « Fluide glacial »), la publication a connu des hauts et des bas, mais est restée un gage de qualité. mehr lesen / lire plus

De Jang vum Timber

Das Coverbild der woxx vom 26. April ließ manche nicht unberührt und hat eine eigene, gut vierzig Jahre alte „großherzogliche“ Geschichte.

Der vergangene Woche 98- jährig verstorbene ehemalige Großherzog von Luxemburg war für eine ganze Generation täglich präsent, prangte sein markant gezeichnetes Gesicht doch auf Briefmarken aller Wertkategorien und  auf Geldmünzen und -scheinen.

Als Guy W. Stoos und Guy van Hulle in den 1970er-Jahren auf die Idee kamen, ihre anti-monarchistische Grundgesinnung in Form einer Plakataktion zum Ausdruck zu bringen, taten sie das – bewusst oder unbewusst – in einer für Luxemburg typischen Zurückhaltung. Die Engländer würden dazu zu wohl Understatement sagen. mehr lesen / lire plus

Les très riches heures de la petite madame de Colmar-Montagne

Le Feierkrop n’est plus, mais laisse du moins derrière lui un dernier tome de dessins satiriques qui – à leur façon – réussissent à capturer l’air du temps.

Que la grande-duchesse devienne carrément la double obsession d’un hebdomadaire satirique dont la rédaction est entièrement masculine a de quoi étonner un peu. En effet, ces dernières années, ce n’étaient pas uniquement les dessins de la rubrique « À la cour » de Moe Skifati et Jacques Drescher qui prêtaient une voix à la souveraine Maria Teresa, mais aussi les textes composés par « La petite madame de Colmar-Montagne ». Ces derniers, qui se terminaient toujours sur une petite poésie, étaient d’ailleurs calqués sur le célèbre « Journal de Carla B.  mehr lesen / lire plus