JOE DANTE: Looney Tunes: Back in action

Convaincu, dès le premier quart d’heure, que l’impact visuel du dessin animé „traditionnel“ a toujours de beaux jours devant lui, le spectateur aura droit à quelques scènes d’humour remarquables. Citons, au hasard, une parodie de „Psycho“ interprêtée par Bugs Bunny, ou encore une course-poursuite délirante à travers des chefs-d’oeuvres du musée du Louvre. Dans son ensemble, cette réalisation laisse cependant une impression de chaos mal maîtrisé. Sans parler des clichés, bien trop nombreux pour être drôles.

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NEIL JORDAN: The good thief

Si l’envie vous prend d’entendre des flics français se parler en anglais avec un accent „very french“, allez-y. Si par contre, vous voudriez voir un remake valable de „Bob le flambeur“, ne vous attendez pas à ce que Neil Jordan y soit parvenu. Un film de cambriolage pas vraiment accrochant, qui surfe sur la vague du romanticisme bordélo- décadent. En ce qui concerne le héro (Nick Nolte) et la belle (Nutsa Kukhiani), on n’a jamais vu deux héroïnomanes aussi facilement sevrés.

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RICHARD CURTIS: Love actually

Über weite Strecken durchaus amüsant, schippert Richard Curtis‘ Weihnachts-Liebeskomödie doch in sehr seichtem Gewässer. Gegen das konventionelle Szenario und die biedere Moral kann auch die geballte Ladung mitwirkender Stars nichts bewirken. Und eine Auseinandersetzung mit der Komplexität von Beziehungen findet in den diversen Liebesgeschichten, die präsentiert werden, nicht einmal ansatzweise statt.

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WOODY ALLEN: Anything Else

Dans son 33 long-métrage, Woody Allen renonce au rôle „principal“, et c’est une aubaine.
Contraint, en quelque sorte, d’assumer les années qui passent, le cinéaste new-yorkais opte pour un tandem qui l’associe, à l’écran, avec un successeur éventuel. S’il n’y a pas grand chose à reprocher à ce dernier, il faut bien admettre que c’est le moins jeune des deux qui fait mouche.
C’est que Woody s’en donne à coeur joie en gentil terroriste, même si, une fois n’est pas coutume, il n’embrasse pas …

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GUS VAN SANT: Elephant

Plans-séquences, plans fixes, travellings interminables, caméra à l’épaule, personnages filmés de dos, entrecroisements temporels: avec „Elephant“, Gus Van Sant revient à une approche plus „indépendante“, donc plus expérimentale, de la grammaire cinématographique. Evidemment, les critiques de cinéma adorent ça! Reste qu’une heure – montrée dans le moindre détail – dans une vie ennuyeuse de collégien-ne-s américain-e-s ne devient pas plus intéressante, même si l’on sait que c’est la dernière.

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QUENTIN TARANTINO: Kill Bill: Parodie einer Gewaltorgie – geht das?

An roter Farbe hat Kultregisseur Quentin Tarantino wahrlich nicht gespart: Beim gnadenlosen Rachefeldzug der ehemaligen „Black Mamba“ wird gehauen, gestochen und vor allem geblutet, was die malträtierten Körperteile so hergeben. BlutphobikerInnen und VegetarierInnen sollten diesen Film deshalb unbedingt meiden. Wer aber darin eine unkonventionell inszenierte, wenngleich mitunter recht zynische Persiflage auf Italo-Western, Kung-Fu-Action und Splattermovies sieht, darf diese stilistische Glanzleistung bloß nicht verpassen. Zur Not jemanden zum Händchenhalten mitnehmen.

In der Cinémathèque.
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ROBERT BENTON: The Human Stain

Le roman de Philippe Roth, dernier volet de sa trilogie américaine sur les bouleversements de l’Amérique d’après-guerre, faisant suite à „Pastorale américaine“ et à „J’ai épousé un communiste“, est adapté assez fidèlement ici. L’actrice principale et les acteurs qui lui tournent autour sont superbes. La froideur du paysage est magnifique en plan large. Malgré tout, le film s’écoule bien doucement, sans grands moments d’émotion.

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KINO: Das Wunder von Bern

Der Ball ist rund: Entsprechend der fußballphilosophischen Weisheit von Sepp Herberger versucht auch Sönke Wortmann, den Film „rund“ zu bekommen, indem er den deutschen WM-Gewinn 1954 zum Aufhänger für das deutsche Wirtschaftswunder hochstilisiert. Doch dieser langlebige Mythos war schon immer arg konstruiert. Was den Film letztlich aber rettet, sind die einzelnen Handlungsstränge und der Reiz des Details: 50er Jahre pur, betrachtet aus der Perspektive des 21. Jahrhunderts.

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SAMUEL BENCHETRIT: Janis et John

La mort violente de Marie Trintignant a donné une certaine publicité à l’une de ses dernières apparitions Cinématographiques. Mais cette petite comédie de Samuel Benchetrit, qui repose sur la transformation des deux protagonistes en pop-stars retraités, souffre d’un scénario peu convaincant.
Plusieurs scènes rigolottes quand- même.

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CLAUDE MILLER: La petite Lili

Sie gilt als Frankreichs neuer Shooting Star: Ludivigne Sagnier präsentiert sich ein weiteres Mal als verführerisch-naive Landpomeranze (die groß hinaus will). Millers Film hilft das nicht. Der strotzt nur so vor selbstgefälligen französischen Klischees, dass man vor Langeweile gähnen möchte.

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DENYS ARCAND: Les invasions barbares

Les fans de „Le déclin de l’empire américain“ et de „Jésus de Montréal“ retrouveront dans ce portrait d’un quinquagénaire mourant la critique du capitalisme de Denys Arcand, autant que son bilan acerbe de la gauche-caviar, 35 ans après ’68. Et ils apprécieront la faculté du réalisateur québécois de nous confronter, sans jamais faire couler du sang, avec la brutalité de la vie.

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FILMS LUXEMBOURGEOIS: Semaine du film luxembourgeois

Parmi les productions et coproductions luxembourgeoises à voir cette semaine dans vos cinémas:

„Am Anfang war der Blick“ – parce qu’il était à Cannes et que tout le monde en parle.

„The Tulse Luper Suitcase“ – parce que de Peter Greenaway qui, jadis, faisait de grands films.

„Secret Passage“ – pour l’acteur John Turturro.

„Un honnête commerçant“ – parce que de Philippe Blasband, autrement excellent scénariste de „Une liaison pornographique“ ou encore „Le tango des Rashevski“.

„Petites misères“ – pour Marie Trintignant, avant de la revoir une dernière fois dans „Janis et John“.

Ou encore: „Le club des chômeurs“ – parce qu’il y a ceux et celles qui aiment – dont nous-mêmes – et d’autres qui haï ssent d’autant plus. mehr lesen / lire plus

JOEL SCHUMACHER: Veronica Guerin

Die Geschichte einer irischen Reporterin, die der Drogenmafia den Kampf ansagt, ist spannend, wird aber klischeehaft von Joel Schumacher in Szene gesetzt. Die Hauptdarstellerin Cate Blanchett wirkt hölzern und oberflächlich. Ein in Irland gedrehter Hollywood-Streifen, in dem investigativer Journalismus romantisch verklärt und mit Lokalkolorit versehen wurde. mehr lesen / lire plus

PHILIPPE LE GUAY: Le coût de la vie

„Geld allein macht nicht glücklich“, besagt ein altes Sprichwort. Dass der schnöde Mammon keine Garantie für Glück, sondern oft auch – wenn es fehlt – Anlass für Verzweiflung und Leid ist, thematisiert Regisseur Philippe Le Guay auf eindringliche und gleichwohl leichte Weise.

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CRISTINA COMENCINI: Il più bel giorno della mia vita

Qu’y a-t-il de plus fort que les liens familiaux? Une chose seulement: l’amour. Ce film montre une famille aux prises avec ce sentiment qu’on ne contrôle pas. C’est là un cinéma italien plutôt sympa, un film d’auteur pas chiant du tout, bien rythmé et avec de bons acteurs, qui rendent leurs personnages très attachants.
Divertissant et intelligent, sans être génial pour autant.

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KINO: Les égarés

Frankreich im Zweiten Weltkrieg: Eine Mutter, ihre zwei Kinder und ein junger Fremder geraten auf ihrer Flucht in eine Villa. Angenehm zurückhaltend erzählt André Téchiné die Geschichte einer Liebe. Dabei wird der Krieg zur Nebensache – und leider auch zur Staffage. Aber allein die Liebesgeschichte (und Emmanuelle Béart) macht den Film sehenswert.

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RON SHELTON: Dark Blue

Wer mit einem nicht immer glaubwürdigen, aber durchaus spannenden Polizeifilm vor der Kulisse der 92er Rassenunruhen in L.A. zufrieden ist, kommt bei Ron Shelton auf seine Kosten. Statt einer reellen Analyse ihrer Ursachen wird hier allerdings lediglich ein sozialkritisches
Psychodrama im Mikrokosmos eines korrupten Polizeiwesens serviert, das vor allem von Kurt Russells schauspielerischer Leistung getragen wird.

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TOMB RAIDER 2: The Cradle of Life

Schon der erste Teil von „Tomb Raider“ war wenig tiefgründig, aber wenigstens unterhaltsam. Nun turnt Angelina Jolie ein zweites Mal als Lara Croft im hautengen Ganzkörperanzug über die Leinwand. Dabei strotzt ihre interkontinentale Suche nach der Büchse der Pandora geradezu vor Ungereimtheiten. Dem Film von „Speed“- Regisseur Jan de Bont fehlt es zudem an Schwung, und, als einem verfilmten Computerspiel, an Spielerischem.

Im Utopolis (Luxemburg) und im Sura (Echternach). mehr lesen / lire plus

NIKITA MIKHALKOV: Urga

Dieser ausgezeichnete und sehr humorvolle Film spielt sich in der überwältigenden Steppenlandschaft der Inneren Mongolei ab. Er zeigt eine Schafzüchterfamilie und ihre Probleme mit der chinesischen Geburtenquote, sowie ihre Begegnung mit einem russischen Lastwagenfahrer.
Der Regisseur Nikita Mikhalkov beweist hier, dass außer der westlichen noch andere Lebensarten kinotaugliche Geschichten hervorbringen.

An diesem Freitag um 20h30 in der Cinémathèque mehr lesen / lire plus

BALZAC: …et la petite tailleuse chinoise

Le film ne tire pas au clair comment et pourquoi une innocente villageoise de 18 ans, dans la Chine Rouge, peut être fascinée par la littérature de Balzac, qui dans ses écrits a surtout traité la décadence en France au 19e siècle. Malgré cette confusion, c’est un film aux belles images, qui raconte une histoire romantique, avec pour message que la curiosité et l’amour pour la beauté ne peuvent pas être éliminées par un système politique.

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