Alan Parker: The Life of David Gale

Dies ist zwar ein spannender Thriller, doch eine fragwürdige Geschichte. Der Hauptgrund für die Abschaffung der Todesstrafe ist, um Fehlurteilen vorzubeugen. Das zumindest geht aus diesem Film hervor. Um zu beweisen, wie schnell ein Unschuldiger exekutiert werden kann, wurde hier eine Geschichte zusammengestellt, die doch sehr an den Haaren herbeigezogen ist und mit der Wirklichkeit des amerikanischen Strafvollzugs nicht viel zu tun hat.

Im Utopolis

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Phillip Noyce: Rabbit-Proof Fence

„Rabbit-Proof Fence“ erzählt die wahre Geschichte einer Flucht quer durch den australischen Kontinent – wunderbar untermalt mit der Musik von Peter Gabriel.

Grausamer Glaubenstäter: Gewaltsam werden die Aborigine-Mädchen von ihrer Mutter getrennt.

Der lange Weg nach Hause

Die Haare streng gescheitelt und mit Pomade zurückgekämmt, ein verhärmtes Gesicht und ein unerschütterlicher Glaube an das eigene Herrenmenschentum – Männer (und Frauen) wie A.O. Neville gab es in den 1930er Jahren viele. Neville (Kenneth Branagh) ist Chief Protector der Aborigines in Perth, West-Australien und als solcher für die bürokratische Umsetzung der australischen Rassenpolitik zuständig.

Deren Ziel ist es, Aborigines- und insbesondere Mischlingskinder von ihren Eltern zu trennen, um sie in staatlichen Heimen zu englisch sprechenden „Weißen zweiter Klasse“, gerade gut genug als billige Arbeitskräfte in der Haus- und Landwirtschaft, umzuerziehen. mehr lesen / lire plus

George Clooney: Confession of a dangerous mind

Possède un esprit original: le réalisateur George Clooney.

Pour son premier film en tant que réalisateur, l’acteur George Clooney prouve qu’il possède à l’évidence un esprit original à défaut d’être dangereux, comme celui de Chuck Barris dont il adapte les mémoires avec l’aide du scénariste Charlie Kaufman („Dans la peau de John Malkovich“).

Im Utopolis

Séverine Rossewy mehr lesen / lire plus

Peter Howitt: Johnny English

Eine James-Bond-Persiflage mag zwar keine besonders originelle Idee sein, doch wurde diese hier dazu benutzt, um die englische Krone samt dem Bishop of Canterbury gehörig zu veralbern. John Malkovich in der Rolle von Pascal Sauvage, einem exzentrischen Franzosen und England- Hasser, steht seinem Gegenspieler Johnny English (Rowan Atkinson) in nichts nach.

Im Utopolis

Léa Graf mehr lesen / lire plus

Chantal Lauby: Laisse tes mains sur mes hanches

Difficile d’accepter l’arrivée des pattes d’oie et de se retrouver toute seule à rêver de l’âme soeur: „Laisse tes mains sur mes hanches“, premier long métrage de Chantal Lauby.

Mon manège à moi, c’est toi!

C’est l’histoire d’Odile Rousselet (Chantal Lauby), une comédienne sur la quarantaine. Sa fille, Marie, âgée de 18 ans décide de quitter la maison pour s’installer avec son petit ami. Odile se retrouve alors toute seule et, plutôt que de glisser dans la déprime, prend son destin en main et profite au maximum de la vie. Elle rencontre un séduisant forain dont elle tombe très vite amoureuse. mehr lesen / lire plus

Shawn Levy: Just Married

Auf den ersten Blick scheint „Just Married“ nur ein weiterer Teenager-Klamauk rund um die Liebe zu sein. Doch neben aufdringlich inszenierten Slapsticks und altbekannten Klischees (Arm liebt Reich) gelingen den Jungstars Brittany Murphy und Ashton Kutcher auf ihrer desaströsen Hochzeitsreise ein paar wirklich gute Gags.

Im Utopolis

Ines Kurschat mehr lesen / lire plus

P. T. Anderson: Punch Drunk Love

Avec „Punch Drunk Love“ le régisseur P.T. Anderson s’est fait une faveur: pour éviter l’ennui et pour se divertir lui-même, il bouscule les règles des genres auxquels il s’intéresse.

Lena (Emily Watson, enfin dans une comédie) qui fait irruption dans la vie de Barry.

Quand la comédie sentimentale se prend un électrochoc

Comment réussir une comédie romantique avec Adam Sandler, cet acteur qui est au cinéma américain ce que Bernard Menez est au cinéma français et Emily Watson, dont le talent est inversement proportionnel à celui de Sandler.

Seul P.T. Anderson pouvait se coller à cet improbable assemblage avec autant de brio que de malice, pulvérisant joyeusement les règles engluées de la comédie romantique. mehr lesen / lire plus

Alain Corneau: Stupeurs et tremblements

Grâce à son souvenir idéalisé du Japon, où elle a passé sa petite enfance, Amélie s’est fait engager dans une grande société à Tokyo, qui finit par être une vraie galère, hiérarchisée de bout en bout. Deux cultures se confrontent et deux femmes, l’une Belge et individualiste, l’autre, sa chef, Nippone et, étant femme, restreint à des règles de comportement strictes.
Le film est assez conforme au roman autobiographique d’Amélie Nothomb; aussi bizarre, fascinant et drôle.

A l’Utopia

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Samsa Film: Portraits d’artistes

Pour la quatrième fois depuis ses débuts en 1995, „Samsa Film“ présente une nouvelle série de „Portraits d’artistes – L’artiste vu par le cinéaste“.

Le côté intéressant du projet „Portraits d’Artistes“ est bien celui de pouvoir découvrir des artistes travaillant au Luxembourg, de voir leur évolution ou de comprendre leur art, ainsi que la nature de leurs démarches. On y trouve des films de tout genre reflétant, entre autres, les personnalités des artistes à travers des portraits intimistes ou des films expérimentaux. La grande qualité de ces projections est qu’elles sont destinées à un large public, à qui elles font découvrir une multitude d’expressions artistiques, bien qu’elles soient plutôt spécifiques et qu’elles s’adressent également aux initiés. mehr lesen / lire plus

Fernando Meirelles: Cidade de Deus

Beim Sterben ist jeder der Erste In dem brasilianischen Film „Cidade de Deus“ liefern sich jugendliche Gangs blutige Straßenschlachten. Ein Stück brasilianische Realität mit den Mitteln des Videoclips.Schwer bewaffnet und zum Töten bereit, schwört sich die Gruppe von Jugendlichen mit einem letzten Vaterunser auf die Schlacht gegen die feindliche Gang ein. Auf zum blutigen Showdown in der „Cidade de deus“ (Gottesstadt), einer Favela von Rio de Janeiro.

Zum Töten ist niemand zu jung in „Cidade de Deus“.

Fernando Meirelles‘ Film heißt so wie das Elendsviertel. Bereits zu Beginn werden die Messer gewetzt: Zé Pequeno hat seinen Gangmitgliedern gegrilltes Hähnchen versprochen. Doch ein Federvieh kann entkommen – eine der wenigen wirklich komischen Szenen in dem zweistündigen Streifen. mehr lesen / lire plus

Stephen Daldry: The Hours

Stephen Daldry’s Triptychon über einen Tag im Leben dreier Frauen überzeugt am meisten durch die Stimmungen, die er rund um die Charaktere schafft, und die das Publikum hineinversetzen in die Haut von Menschen, die am Leben leiden. Ein Film, der bewegt, auch wenn das Szenario nicht immer überzeugt.

Im Utopolis

Renée Wagener mehr lesen / lire plus

Festival international du film fantastique à Bruxelles: Bouh!

Et c’est reparti pour le „BIFFF“, 21e édition sanglante du festival international du film fantastique, de science-fiction et du thriller de Bruxelles. Au programme, plus de 100 films et des invités aussi prestigieux: Jodorowsky, Vernes, Boyle, …

Pour les fanas d’hémoglobine, les mordus de zombies et autres mutants, il n’y a qu’au „BIFFF“, qu’on se le dise, que l’on peut visionner des films affublés de titres aussi grotesques que „Zombie Plague: Mutant Zone“ ou, la cerise sur le gâteau, „Neutron Contro los Automates de la muerte“, dans le cadre d’une rétrospective mexicaine. Outre le culte, il y a aussi les poids lourds. mehr lesen / lire plus

Spike Lee: 25th Hour

Die Kamera begleitet einen Mann, der nur noch wenige Stunden hat, um sich von seinen Freunden und seiner geliebten Stadt New York zu verabschieden, ehe er sich für sieben Jahre ins Gefängnis begeben muss. Dies ist vor allem ein Film über New York und seine BewohnerInnen, ihre Mentalität des „Alles oder Nichts“ – sei es aus Not, Gier oder Angst. Die leere Stelle auf Ground Zero hat hier fast eine symbolische Bedeutung. Ein Film für die, die trotz allem von New York fasziniert sind.

Im Ciné Cité

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Spike Jonze: Adaptation

„Adaptation“, réalisé par Spike Jonze, est avant tout un film écrit par Charlie Kaufman, le plus incomparable des scénaristes américains actuels.

Deux représentants de la forme de vie la plus répugnante d’Hollywood: Nicholas Cage et Nicholas Cage en Donald et Charlie Kaufman.

SCENARISTE BENI

Charlie adapte Kaufman

(gk) – A Hollywood, le/la scénariste représente sans doute la forme de vie la plus répugnante qui soit. Les „producteurs“ leur font écrire des jets, qu’ils leur font réécrire, jusqu’au moment où ils se disent que „no, that won’t work at all“ et qu’ils prennent le dernier jet pour le donner à un-e autre scénariste, qui devra en faire un nouveau jet, etc.. mehr lesen / lire plus

Rob Marshall: CHICAGO

Une ville de légende où les femmes assassinent leur mari, font de la prison – ce qui a le chic d’en faire des stars – se jalousent l’une l’autre jusqu’à se faire des coups bas pour qui fera la première page du lendemain.

John C. Reilly joue peut être un personnage désespérant d’insignifiance dans „Chicago“, mais il est au moins en bonne compagnie. (photo: David James / Miramax Films)

Pluie de paillettes

Le dernier film de Rob Marshall est, du point de vue féminin, tout à fait jubilatoire tant les femmes y font le spectacle, y mènent la danse, non sans l’intervention de quelques princes (pas toujours) charmant. mehr lesen / lire plus

Pascal Morelli: Corto Maltese, la cour secrète des arcanes

Loin des mises en mouvements aussi rapides que possibles à la Disney, „Corto Maltese, la cour des arcanes“ prend son temps, même dans les scènes d’action. Ce qui laisse la possiblité de suivre l’histoire, très fidèle à la BD, qui nécessite une attention sans failles. Corto Maltese tue souvent ici de sang-froid, ce qu’on ne retrouve dans l’original d’Hugo Pratt qu’éparpillé sur quelques rares images. Des dessins très beaux pour un film plutôt long, où les personnages peuvent sembler trop plats aux personnes qui ne connaissent pas grand-chose de l’oeuvre de Pratt.

Germain Kerschen

A l’Utopolis mehr lesen / lire plus

Curtis Hanson: 8 Mile

„8 Mile“, est le nom de la voie rapide séparant les banlieues blanches des quartiers noirs de Detroit, un des berceaux
du rap US.

Mère alcoolo et rappeur désabusé: Kim Basinger et Eminem forment un duo très convainquant dans
„8 Mile“. (Photo: Eli Reed)

EMINEM AU CINEMA

Concentré de rage en rimes

Le titre du dernier film de Curtis Hanson sonne aussi comme le testament d’une ville économiquement exsangue, baptisée par ses propres habitants „Murder City“. Avec, dans le rôle du rappeur blanc seul contre tous, l’ultra célèbre Marshall Mathers, alias Eminem.

Faire un film sur le rap, mouvement controversé et puissamment associé à une génération, comme le fut le rock en son temps, n’était pas la chose la plus simple à faire. mehr lesen / lire plus