75 ans d’armes nucléaires (6) : 6.000 degrés et une ombre

Se souvenir du bombardement d’Hiroshima, c’est aussi se souvenir de la manière dont il a été décidé. Et s’interroger sur la notion même d’humanité.

« Where Their Footsteps Left No Trace » de Roy Ray. Juxtaposition de cinq hommages aux victimes innocentes de Coventry, Auschwitz, Dresde, Hiroshima et New York. L’humanité toujours capable de se « surpasser » ! (Flickr ; Jim Linwood ; CC BY 2.0)

Hiroshima, matin du 6 août 1945. Trois avions survolent la ville, pas assez pour déclencher une alerte aérienne. Une seule bombe est lâchée – « Little Boy » explose à 500 mètres au-dessus de la ville. mehr lesen / lire plus

Élections présidentielles américaines : Bernie, et ensuite?

Le radicalisme du candidat Bernie Sanders suscite de grands espoirs. Ses adeptes risquent d’être déçu-e-s, à moins que…

(Wikimedia ; Lorie Shaull 2016 ; CC BY-SA 4.0)

« J’ai une information pour l’establishment républicain. J’en ai une pour l’establishment démocrate. Ils ne peuvent pas nous arrêter. » La petite phrase de Bernie Sanders à destination des élites du parti républicain, mais surtout des élites de son propre parti, résume parfaitement la posture du candidat de gauche pour la nomination à l’élection présidentielle : son mouvement est avec le peuple, contre la caste dirigeante.

Bien plus que son programme, c’est cette posture qui nourrit tous les espoirs. mehr lesen / lire plus

Bitter years, sweet crisis : Au-delà de l’amertume

Une exposition des années 1930 permet de s’interroger sur le photojournalisme, mais aussi sur les politiques en temps de crise.

Amertume, dignité, espoir.

En 2015, après l’élection d’un nouveau président, l’Union européenne décide de mettre fin aux politiques d’austérité. Face au désastre économique et social, elle adopte un ambitieux programme d’aide et de relance. Afin d’améliorer l’acceptation de ce programme, la toute nouvelle European Social Agency (ESA) envoie des reporters aux quatre coins du continent, afin de ramener des photos, des textes et des vidéos montrant la détresse des populations et les projets d’aide en cours.

Utopique ? Peut-être. Mais c’est à peu près comme cela que les choses se passent aux Etats-Unis lorsque le président Franklin D. mehr lesen / lire plus

ULRICH BRAND: Grüner Kapitalismus, nein danke!

Ökologisierung hier und jetzt statt internationaler Kompromisssuche, Abkehr von Markt und Profit statt „Green Economy“. Ulrich Brands Forderung nach einem radikalen Umbau geht weiter als die vor-herrschenden grünen und linken Diskurse.

„Die Krise treibt die Eliten vor sich her“, stellt Ulrich Brand leicht amüsiert fest. Das reicht aber seiner Meinung nach nicht für einen „Green New Deal“, der ähnlich tiefgreifende Veränderungen wie seinerzeit unter Roosevelt ermöglichen würde.

woxx: Sie sind ein Kritiker des „Green New Deal“. Was ist falsch an dem Versuch, parallel die ökologische und die Finanz-und Wirtschaftskrise lösen zu wollen?

Ulrich Brand: Der Ausgangspunkt, die multiplen Facetten der Krise einzubeziehen, ist gut und richtig. mehr lesen / lire plus