Après les yaourts et les voitures, les parquets
Un mauvais publicitaire s’en tient, pour vendre le produit qu’il veut mettre en valeur, à y associer une jeune femme dévêtue ou presque. Ce procédé usé jusqu’à la corde vient d’être employé par une entreprise luxembourgeoise pour promouvoir ses … parquets. L’on y voit une jeune femme en sous-vêtements lascivement allongée à même le sol. Le commentaire accompagnant la photo n’est pas des plus subtils : « Verführerisch, unser neuer Bodenbelag… Das sinnliche Erlebnis aufs Parkett ». La publication de l’annonce dans certains journaux a évidemment suscité l’indignation du Cid-femmes qui s’est adressé à la Commission luxembourgeoise pour l’éthique en publicité en l’appelant à mettre cette pub à l’index. mehr lesen / lire plus
(lc) – Ce n’est certes pas son dernier roman, mais il vaut le détour. Chuck Palahniuk est un des jeunes auteurs américains les plus influents du moment, tout en évitant le mainstream pratiqué par ses confrères tels que Jonathan Frantzen. C’est que les bouquins de Palahniuk ont toujours quelque chose en plus, comme s’ils se déroulaient dans une dimension parallèle proche de la nôtre, mais qui laisse s’entrouvrir des possibilités inespérées. Le lecteur sceptique n’aura qu’à se remémorer « Fight Club », le film culte de David Fincher, basé sur un roman de Palahniuk. Quelques années après ce premier grand succès, le romancier se lance dans un bouquin aux accents plus personnels, « Lullaby ». 
(td) – Brüssel, 16. Juni 1978 – Kurz vor Mitternacht muss die Polizei auf den Boulevard Anspach zum Konzertsaal Ancienne Belgique, anrücken um einen randalierenden Mob mit Tränengas zu vertreiben, der kurz zuvor noch die Künstler auf der Bühne anschrie, teilweise auspfiff, bis sie schließlich anfing, Stühle auf die Bühne zu werfen. Doch wer war diese Band? Suicide. Erst wenige Monate vor diesem denkwürdigen Auftritt, dessen Ablauf sich so oder ähnlich in anderen Städten wiederholen sollte, veröffentlichten Suicide, die Band um Sänger Alan Vega und Tastenhauer Martin Rev, ihr Erstlingswerk „Suicide“. Der Name ist Programm. Rev steuert mit einem flirrenden Syntheziser und einer Drummachine, die von einem derart albtraumhaften primitiven Minimalismus zeugt, dass man sie, je nach Gemütszustand, entweder als höllenartiges ballerndes Maschinengewehr oder als Harley-Davidson im Leerlauf wahrnimmt, zur Endzeitstimmung bei. 
