EXPOSITION: C’est bien un Casino

Avec sa dernière exposition « Ceci n’est pas un Casino », le Casino-forum d’art contemporain tente l’expérience auto-ironique – ce qui ne lui réussit qu’à moitié.

Détourné ludiquement : la table de billard de Stéphane Tidet.

Admettons que le titre de l’exposition prête à sourire. La double référence au célèbre tableau de Magritte et à l’anecdote récurrente qui veut que les employé-e-s du Casino doivent souvent expliquer aux touristes errants que ce Casino n’est pas fait pour jouer mais pour consommer de l’art contemporain est bien trouvée. Pourtant, elle fait aussi apparaître un soupçon de nombrilisme dans une maison d’art pourtant connue pour son ouverture à toutes les tendances. mehr lesen / lire plus

Kulturkadaver

+++ Entgegen unserer sonst eher schnipselmäßigen Art die Kulturkadaver zu präsentieren, machen wir diese Woche einen kleinen, subjektiven Ausflug nach Avignon, wo unsere Freelancerin Pia Oppel letzte Woche weilte. +++ Bei der diesjährigen, bereits 64. Ausgabe des Theaterfestivals in Avignon gaben sich erneut tausende Schauspieler und Besucher während drei Wochen ein Stelldichein. Der Gastregisseur im Hauptprogramm, Christoph Marthaler, inszenierte mit der Bühnenbildnerin Anna Viebrock im Ehrenhof des Papstpalasts ein Stück, das nicht wenige der Zuschauer zum frühzeitigen, polternden Abgang bewegte. Eine Stimme aus dem Publikum beschimpfte die Katholizismussatire „Papperlapapp“ sogar als „nul à chier“. In Avignon ist man Marthalers antiautoritären, sich an Dissonanzen und ironischen Brüchen entlang hangelnden Stil nicht gewöhnt – die meisten kommen ja auch für das weniger prestigeträchtige, unabhängige Nebenprogramm. mehr lesen / lire plus

PHOTOGRAPHIE: La base

Depuis un mois, l’espace Argentik est en train de remplir une mission qu’aucune autre institution du pays n’a su accomplir : donner enfin un forum aux jeunes photographes.

L’espace Argentik: un nouveau forum pour la photographie de tout poil.

Parfois, les meilleures idées naissent de la frustration. Cela peut arriver aux gens qui par exemple ont choisi de faire de leur passion leur métier, et doivent constater que la réalité de ce métier ne leur convient pas : trop d’obligations, de compromis à faire, mais aussi le facteur de l’argent qui entre en compte. Des problèmes que Christophe Olinger, photographe et un des fondateurs de l’espace Argentik connaît bien, trop bien même. mehr lesen / lire plus

Kulturkadaver

+++ Die Premiere von „The Job“ im Mierscher Kulturhaus bot wenig neue Einsichten. Dabei hatte man sich doch auf eine originelle Choreographie gefreut, die Außenstehende an das Thema Arbeitssuche kreativ heranführt… Tänzerisch hervorragend, choreographisch jedoch zu komplex und insgesamt zu schwer, zu überladen, zu stark symbolisch aufgeladen, ja bisweilen zu ambitioniert kam diese Inszenierung daher, in der man fortwährend mit dissonanten Klängen traktiert wurde und Reizüberflutung so erfahrbar wie nie wurde. Eindrucksvoll war lediglich immer das, womit man nicht rechnete, wie der Chor oder das ins Stück eingeflochtene Umbauen der Kulisse von TänzerInnen, sowie ein paar individuelle Choreographien der Amateure, die zum Teil beeindruckend ausgereift wirkten. mehr lesen / lire plus

AUSSTELLUNG: Die wilden Jahre sind vorbei

Wie lassen sich 60 Jahre Jugendbewegung und Jugendkultur in einer einzelnen Ausstellung unterbringen? Ein Vorhaben mit Anspruch, dem die Schau „Born to Be Wild?“ im Musée d’histoire de la Ville de Luxembourg auf phantasievolle Art teilweise gerecht wird.


Gegensätzliche Welten?
Dr. Sommer vs. Politische Revolte – eine Gratwanderung durch 60 Jahre Jugendkultur.

Büstenhalter und Lockenwickler, Anzug und Krawatte haben ausgedient, kultiviert wird eine Haltung der Auflehnung und Abkehr. „Born to Be Wild“, der erste Hit der US-amerikanischen Blues-Rock-Band Steppenwolf, erfasste das Lebensgefühl einer ganzen Generation. Spätestens als Soundtrack des Road Movies „Easy Rider“ wurde der Song weltberühmt, heute steht er für die Generation der 68er, für Hippiebewegung, Revolte und Befreiung. mehr lesen / lire plus

Casino debating : Un joli foutoir

(lc) – Le 17 juin, le Casino-Forum d’art contemporain organisait – sous le parrainage de notre joli petit hebdomadaire – un débat sur le thème « Eis national Kënschtler gi vun de lëtzebuergesche Kulturinstitutioune vernoléissegt ». Une motion controverse qui a suscité un débat pas vraiment contradictoire, mais aux tournures parfois surprenantes. Les participants étaient divisés en deux partis : l’un d’accord avec la motion, l’autre en opposition. Parmi les défenseurs des insitutions culturelles luxembourgeoises on trouvait Kevin Muhlen, le directeur artistique du Casino et Hans Fellner, intellectuel et propriétaire d’un magasin de livres d’art. Du côté de ceux qui se sentent délaissés par les institutions se rangeaient les artistes peintres et plasticiens Roland Quetsch et Jean-Marie Biwer, représentant respectivement l’ancienne et la nouvelle garde artistique du cru. mehr lesen / lire plus

EXPOSITION UNIVERSELLE SHANGHAI: Passages artistiques

Malgré les polémiques, la « Gëlle Fra » est loin d’être l’unique exploit artistique grand-ducal à être exporté en Chine pour l’exposition universelle de Shanghai.

La gardienne du temple – n’appartient pas au programme culturel du pavillon luxembourgeois.

Admettons-le, l’enjeu est de taille. Une exposition universelle possède toujours un flair à la limite de la mégalomanie, tous les pays exposants voulant donner une bonne, voire la meilleure impression d’eux-mêmes et surtout de leurs exploits dans tous les domaines. Et à côté de l’industrie figure aussi la culture. Certes, cette dernière n’a pas toujours été au centre de toutes les attentions lors des expositions précédentes, et peut-être même absente lors des premières éditions historiques de cette plus grande foire du monde. mehr lesen / lire plus

STERBEHILFE: Der letzte Wille

Der soeben angelaufene kanadisch-luxemburgische Kinofilm „La dernière fugue“ greift ein umstrittenes Thema auf: die (freie) Entscheidung zum Tod. In Luxemburg soll er die Debatte um die Sterbehilfe anregen.

Auch beim gemeinsamen Festmahl hat der Kranke das letzte Wort.

Die Wogen schlugen hoch, als der Großherzog sich im vergangenen Jahr bei einer Amtshandlung unerwartet querstellte und aus ethischen Gründen seine Unterschrift unter das „Euthanasiegesetz“ verweigerte. Nur dank einer Verfassungsänderung konnte das Gesetz schließlich in Kraft treten. Auch in Kanada ist die Diskussion um eine rechtliche Neuregelung der Sterbehilfe hochaktuell. Im Februar lehnte das kanadische Parlament nach längerer Debatte die Zulassung der aktiven Sterbehilfe mit großer Mehrheit ab. mehr lesen / lire plus

Kulturkadaver

+++ „Kunst ist ein Opfer des Lebens. Der Künstler opfert der Kunst das Leben, nicht weil er es will, sondern weil er es nicht anders kann.“ Am 31. Mai verstarb die Grande Dame der Gegenwartskunst, Louise Bourgeois, im Alter von 98 Jahren in ihrer Wahlheimat New York. Bereits als Kind übte sie stillen Widerstand gegen den übermächtigen Vater, formte bei Tisch Gestalten aus Brotkrumen. Die Bildhauerin war eine der ersten, die Installationen erarbeiteten. Mal inszenierte sie sich mit einem Phallus unter dem Arm, warf lange vor „Körperwelten“ einzelne Körperteile grotesk in den Raum, provozierte, schockierte. Ihr letztes großes Werk, die neun Meter hohe bronzene Spinnenfrau „Maman“, schmückt heute zahlreiche Sammlungen weltweit. mehr lesen / lire plus

CENTRE POMPIDOU METZ: Petit frère

Le nouveau centre Pompidou de Metz a de hautes ambitions, mais n’arrive pas vraiment à se démarquer de l’original.

Shigeru Ban a crée une coulisse exceptionnelle pour le centre Pompidou en Lorraine,
mais le musée sera-t-il à la hauteur de ses ambitions?

Deux choses frappent d’emblée le visiteur luxembourgeois quand il s’approche du centre Pompidou à Metz. Premièrement, le vaste espace dont profite le bâtiment conçu par Shigeru Ban. Au contraire du Mudam au Luxembourg, le nouveau centre Pompidou de Metz n’est pas entouré d’autres prouesses architecturales, mais profite du vide autour de lui qui met en valeur ses formes généreuses. mehr lesen / lire plus

Kulturkadaver

+++ Der erste Diskussionsabend in der Reihe „Casino Debating“ widmete sich am 20. Mai der Reise der Gëlle Fra nach Shanghai und ergänzte den ewigen Streit über die Bedeutung des umstrittenen Denkmals um ein unterhaltsames Kapitel. Für Kunstkurator Jo Kox hat die sinnfreie Aktion die Gëlle Fra zum Dekorationsobjekt degradiert: „Dass die patriotischen Organisationen dies gutheißen, unterminiert ihre Glaubwürdigkeit auch rückblickend auf die Debatte um Lady Rosa.“ Robert Goebbels wollte von der Problematik nichts wissen: „Sowieso weiß ich nicht, was die Symbolik der Gëlle Fra sein soll.“ Der Psychiater Paul Rauchs schlug vor, die Gëlle Fra gar nicht als Symbol zu verstehen, sondern als reines Symptom sich wandelnder luxemburgischer Befindlichkeiten. mehr lesen / lire plus

FILMS: Uniques

Au début du 20e siècle, les amateurs de cinéma et de création commençaient à se réunir dans des clubs d’amateurs. A l’ère digitale, ces structures sont toujours existantes comme le prouve le festival Unica dans l’Ancien Cinéma de Vianden.

Qui ne s’en souvient pas ? Les anciens films de famille ou des essais cinématographiques mi-sérieux, mi-anecdotiques qu’on regardait avec toute la famille – et pas toujours de plein gré – avec les vieux projecteurs brouillants et une qualité sonore à peine discernable. En se démocratisant, en devenant un outil de masse, l’industrie du cinéma a mis dans les mains de tout le monde la possibilité de tourner des films – jadis réservée aux cinéastes professionnels. mehr lesen / lire plus

TANZFESTIVAL: Grenzüberschreitende Tanzwelten

Kreativ, abstrakt, ausdrucksstark. Das Festival Transfrontalier in Luxemburg, Nancy und Trier ist das Resultat einer grenzüberschreitenden transkulturellen Zusammenarbeit.

Von hinten wie von vorne auf Tanz eingestellt: Denis Plassard.

Wie grenzüberschreitende Kooperation funktioniert und sukzessive institutionalisiert wird, ist zweifellos am Tanzfestival Le Transfrontalier zu sehen. Nachdem Luxemburg 2007 Europäische Kulturhauptstadt war, erwuchs rasch die Idee einer strukturellen Zusammenarbeit. Die ehemalige Arbeitsgruppe „Kultur“ der Regionalkommission entwickelte sich zum Verein „Kulturraum Großregion“ weiter, getragen von den Kulturministerien aller Teilregionen. Damit wurde die Mobilität zwischen den Städten erleichtert. Auf zahlreichen Bühnen wurden nach und nach grenzüberschreitende Programme angeboten.

Überdies erarbeiteten die drei Kulturinstitutionen Theater Trier, das CCN – Ballet de Lorraine in Nancy und das Danz Festival Letzebuerg im Verbund mit dem Centre de Création Chorégraphique Luxemburgeois – Trois CL seit 2007 gemeinsame Strategien zur Unterstützung und Bewerbung der Künstler aus der choreografischen Szene der Großregion. mehr lesen / lire plus

THEATERFESTIVAL: Perspektiven für die Großregion

Multiperspektivisch, zeitgenössisch, waghalsig. Das deutsch-französische Festival der Bühnenkunst „Perspectives“ katapultiert den Zuschauer vom 21. bis zum 29. Mai in die grenzenlose Welt des zeit-genössischen Theaters.

Ein Mann der gute Figur macht:
Das Figurentheater Tübingen in „Mit riesen-großen Flügeln“.

Im Hintergrund der Bühne ist nur die Silhouette eines Menschen sichtbar, ein Eisball zerbirst auf dem Boden. Starjongleur Philippe Ménard erscheint im Rampenlicht, seine Materie: das Eis; seine Kunst: die „Unjonglierbarkeit“; seine Botschaft: Die ständige Metamorphose zwischen Körper und Identität. Ménard ist, zwischen Eisblöcken hin und her rutschend, verzweifelt auf der Suche nach dem Gleichgewicht. Er jongliert mit Eiswürfeln, umgeben von Kühlschränken wird sein Männerkörper nach und nach zu dem einer Frau. mehr lesen / lire plus

Groß-Netz-Region?

Wiederverwertung mal anders: „Percussion under Construction“, ein musikalischer Beitrag aus Frankreich.

Seit das Kulturjahr 2007 über die luxemburgischen Gefilde hinwegzog, haben sich ein paar neue Wörter im Vokabular der Kulturschaffenden festgesetzt. Es geht meistens um « Großregion », « Vernetzen » und « Dauerhaftigkeit ». Ob die Netze, die während des Kulturhauptstadtjahres gesponnen wurden, wirklich auf Dauer tragfähig sind, oder ob es sich doch nur um bürokratische Spinnereien handelte – das lässt sich unter anderem an den beiden Festivals messen, die wir in diesem Dossier beleuchten. Zusammenarbeit kann viele Formen annehmen, sie kann rein ökonomischer Natur sein, auch kreativ funktionieren, nur etwas kann sie nie erzwingen : eine gemeinsame « großregionale » kulturelle Identität. mehr lesen / lire plus

Kulturkadaver

+++ Es ist mal wieder so weit. Die woxx-Redaktion hat die Kadaver wieder ausgegraben und zieht unverschämt über vergangene kulturelle Highlights und nicht so hoch fliegende Events her +++ Hedda Gabler im TNL: Der Ibsen-Klassiker „Hedda Gabler“ ist zurzeit in einer Inszenierung von Klaus Weise, Intendant am Schauspiel Bonn, im Theatre National du Luxembourg (TNL) zu sehen. Mag das Bühnenbild noch so schick erscheinen und mit seinen schrillen Farben an den Wänden im Popart-Stil erfrischend modern daherkommen, die Inszenierung selbst ist es nicht. Vielmehr tritt beim Zuschauer nach viel atemlosen Herumgeturne zwischen weißen Ikea-Regalen, sehr vordergründigen Dialogen und hysterischem Gekreische rasch Ermüdung ein. mehr lesen / lire plus

NATIONALISMUS: Deconstructing Luxembourg

Das Großherzogtum und seine tausendjährige Geschichte – eine Erfindung? Ein Forschungsteam der Universität Luxemburg kratzt an den Grundfesten der hiesigen Geschichtsschreibung.

Als “Zerstückelung” stellte der Geschichtsschreiber Arthur Herchen 1918 die Umorganisationen des Territoriums dar, auf dem sich das Luxemburg des 20. Jahrhunderts befindet.

Können Sie sich erinnern, im Klassenzimmer mit Johann dem Blinden, dem Putsch von 1856 oder der Abdankung Maria Adelheids konfrontiert worden zu sein? Wer seine Schulzeit in Luxemburg verbrachte, hat aus der Sekundarschulzeit meist nur die farbigen Buchdeckel des vierbändigen „Manuel d’histoire luxembourgeoise“ aus den Siebzigerjahren in Erinnerung. Nach den französischen Königen und der Revolution, dem Ersten und vielleicht noch dem Zweiten Weltkrieg blieb meist keine Zeit mehr für „Le Luxembourg sous l’Ancien Régime“ oder „Le Luxembourg à l’époque contemporaine“. mehr lesen / lire plus

POLITIQUE CULTURELLE: Les enfants-loups

En créant le « Kulturpass », le Luxembourg a enfin compris que les sphères culturelles et sociales n’étaient pas séparables.

Un premier pas vers
une meilleure prise en compte des réalités
socio-culturelles vient d’être franchi.

Ce fut une des grandes avancées que promettait la ministre de la culture Octavie Modert après les dernières élections : la création d’un « Kulturpass », une sorte de carte d’accès aux musées, aux théâtres et autres institutions culturelles subventionnées au profit de personnes qui de par leur budget devraient considérer la culture comme un luxe qu’ils ne peuvent pas se permettre. Or, l’accès à la culture est tout sauf un luxe – c’est un droit fondamental. mehr lesen / lire plus

THEATER: „Ich existiere nicht. Ich bin niemand.“

Das von ASTI und ASTM initiierte und von SchülerInnen geschriebene Theaterstück „L’Eldorado de la Meduse“, widmet sich dem Alltag illegalisierter Einwanderer.

Vom Glück in Europa kann Djuba, die Hauptfigur, in L’Eldorado de la Meduse, nur träumen.

„Ich existiere nicht, ich bin niemand – mein Personalausweis hat mich 2.000 Euro gekostet. Man muss reich sein, um hier in Europa existieren zu dürfen“, sagt Djuba, ein Darsteller in dem Theaterstück L’Eldorado de la Meduse. Der senegalesische Schauspieler Pape Macoura Ndiaye spielt die Hauptfigur in dem von acht 16-jährigen SchülerInnen des Lycée Aline Mayrisch geschriebenen Stück. Das Theaterstück ist zugleich das Ergebnis der Zusammenarbeit zwischen den beiden Luxemburger Nicht-Regierungsorganisationen ASTI und ASTM, die in diesem Jahr ihr 30- bzw. mehr lesen / lire plus

BANDE DESSINÉE: Ballade pour Adèle

La sortie imminente du film sur « Adèle Blanc-Sec » est l’occasion de parler de la série BD qui en est à l’origine. L’héroïne mise à l’écran par Luc Besson a été imaginée par le génie du Neuvième art qu’est Jacques Tardi.

« Ding ! Ding ! » Adèle s’approche de la porte, méfiante, son revolver à la main. Devant, à travers le judas, elle aperçoit un individu en costard et melon noir, mal rasé, mégot au coin des lèvres. Un truand, mais trop jeune pour être offensif, juge-t-elle et ouvre. Le gamin vient de la part de Joseph et l’invite à le suivre : « Y a un sapin qu’attend en bas… » On voit Adèle monter dans le fiacre à la lueur d’une lanterne, et traverser le Paris nocturne. mehr lesen / lire plus