Inondations dans l’est de la Libye : À Derna, la catastrophe après la tempête Daniel
Cette ville de l’Est libyen a été durement touchée par la tempête Daniel dans la nuit du 10 au 11 septembre. Dans un contexte de chaos politique, la reconstruction s’annonce difficile.
Rajab Miled Habib, à Derna, sur les lieux où se trouvait son immeuble. (Photo : Maryline Dumas)
« J’ai cru que c’était la fin du monde », raconte Rajab Miled Habib avant de préciser : « Tous mes voisins sont morts. » En cette fin septembre, plus de 15 jours après le passage du cyclone subtropical méditerranéen Daniel qui a ravagé un quart de Derna, située à quelque 250 km à l’est de Benghazi, seconde ville libyenne, le quadragénaire ne se remet toujours pas de la violence de cette tempête. mehr lesen / lire plus
« Nous ne vendons pas notre âme pour atteindre des compromis. » La déclaration de la présidente Francine Closener, ce mercredi, donne l’image d’un parti combatif, qui refuse fièrement de se laisser entraîner sur une pente antisociale en négociant avec le CSV. Le hic, c’est que ce refus est formulé à un moment où il n’y a plus rien à refuser – le LSAP a été mis hors jeu par Luc Frieden. 
« Écoute la voix, t’as rien à perdre » (Lauschter d’Stëmm, du hues näischt ze verléieren). En fin d’après-midi, les résultats partiels tombent : les verts perdent massivement, l’ADR gagne, les deux sièges Déi Lénk sont incertains. À l’intérieur, ils et elles chantent à tue-tête l’hymne de Déi Lénk, composé par Serge Tonnar, pour se réconforter. « Les gens ont senti la dynamique », déclame Gary Diderich, tête de liste dans le Sud. Évoquant le risque que le parti ne soit plus représenté au parlement, il parle d’espoir, d’engagement, de « la voix », encore de l’espoir… « et sinon, au moins on portera cette voix dans la société civile ». 
Etwa ein Jahr ist es her, dass
Giorgia Meloni mit ihrer Partei „Fratelli d’Italia“ (FI) die italienischen Parlamentswahlen gewann. Knapp einen Monat später wurde sie zur Ministerpräsidentin ernannt. Seither regieren die sogenannten Postfaschisten zusammen mit der rechtspopulistischen „Lega“ und der Berlusconi-Partei „Forza Italia“ das Land (siehe den Artikel „
Ihre letzte Platte erschien 2018, aber jetzt ist São Paulos neunköpfige Bigband Bixiga 70 endlich mit Vapor zurück. Während dieser langen Pause hat sich das Ensemble personell verändert und stilistisch ein bisschen neu orientiert. Der nigerianische Afrobeat, der früher eine wichtige Rolle spielte, sei Vergangenheit, sagt die Band. Stattdessen habe man sich auf moderne Versionen brasilianischer Stile wie den Axé und Electro-Varianten des Forró konzentriert, in denen das Keyboard eine tragendere Rolle spielt. Wenn man genau hinhört, schimmert durch die Bläsersätze dennoch der Afrobeatmaestro Fela Kuti durch, was aber überhaupt nicht schlimm ist. In der rein instrumentalen Band dominieren die vier Bläser, während Keyboard und Gitarre assistieren. 
Care-Arbeit ist eine Kunst – und das nicht nur im übertragenen Sinne, sondern auch konkret: In der Ausstellung „Who Is Doing the Washing Up?“ im Kulturhaus Niederanven sind unbezahlte Haushaltsarbeit und Familienbetreuung derzeit Thema. Dahinter steckt die luxemburgische Künstlerin Fabienne Margue. Ihr Kunstprojekt begann im Rahmen ihrer Masterarbeit an der Bauhaus Universität Weimar; es soll Care-Arbeit und Mechanismen der Ausbeutung im Kapitalismus sowie im Patriarchat kritisch beleuchten. In Workshops entstanden hierzu kollektive Performances, bei denen darstellende Künstler*innen ihre persönlichen Erfahrungen und Gedanken zu den Sujets in Bewegung übersetzt haben. Inhaltlich wie künstlerisch ein spannendes Anliegen, das leider nie an Aktualität zu verlieren scheint. 
Aux allures de fable fantastique, le deuxième long métrage du réalisateur Thomas Cailley suit François, à la recherche de son épouse transformée en animal, accompagné dans sa quête par leur fils Émile. Alors que l’adolescent, interprété avec douceur par Paul Kircher, est lui-même atteint du virus mutant qui a provoqué cette transformation, la relation entre le père et le fils dévoile peu à peu leurs peurs sous-jacentes de se retrouver incompris et isolés. Quitte à ne susciter guère de surprises, ce film antispéciste emporte toutefois par des dialogues amusants et une tendre dynamique entre les personnages, tous convaincants.
