Am Bistro mat der woxx #316 – Gëtt et Dateschutz am Prisong?

All Woch bitt d’woxx Iech an hirem Podcast en Abléck an hir journalistesch Aarbecht a beliicht d’Hannergrënn vun engem Artikel.

Eng däitsch Aktivistin huet opgedeckt, datt de Programm „Basis“, dee fir d’Verwaltung vun de Donnée vu Prisonéier benotzt gëtt, net konform mat der Dateschutz-Reglementatioun ass. An wéi si méi Informatioune wollt hunn, huet et geheescht: Nee, well Lëtzebuerg wëll déi Informatiounen net erausginn. Lëtzebuerg? Jo, och de Grand-Duché benotzt „Basis“, mä hei am Land gesäit d‘Administratioun keng Problemer mam Dateschutz. D‘woxx ass der Saach op de Grond gaangen, am Podcast schwätze mir doriwwer.

Den Artikel, iwwert deen mir geschwat hunn: Gefängnisverwaltung: Die Software für alles – außer Datenschutz 

 

 

Gefängnisverwaltung: Die Software für alles – außer Datenschutz

Eine Aktivistin schlug Ende 2024 Alarm in Deutschland: Der Datenschutz von Gefängnisinsassen sei nicht gewährleistet. In Luxemburg wird die gleiche Software verwendet – hierzulande sieht die Verwaltung kein Problem.

Modernes Gefängnis, veraltete Software? Das Programm, das in Luxemburg zur Verwaltung von Gefangenendaten eingesetzt wird, ist vermutlich nicht konform mit dem Datenschutz. (Foto: © SIP/Jean-Christophe Verhaegen)

Wer an Gefängnisse denkt, denkt nicht unbedingt an Datenschutz. Immerhin ist das Konzept des „Panopticons“ ein Inbegriff der Überwachung. Es sieht vor, Gefängnisse rund anzulegen, sodass jede Zelle von einem zentralen Überwachungsturm in der Mitte eingesehen werden kann. Doch selbstverständlich haben die Insassen von Gefängnissen auch Menschenrechte und damit auch jenes auf den Schutz ihrer Daten. mehr lesen / lire plus

Geschlechtsspezifische Gewalt: Fehler im System

Nur eine von zehn Frauen, die sexualisierte Gewalt erfahren hat, erstattet Anzeige gegen den Täter. Wiederum nur eines von zehn Ermittlungsverfahren landet am Ende vor Gericht. Der Luxemburger Opferhilfeverein „La voix de survivant(e)s“ will mit einem Gesetzesentwurf für mehr Gerechtigkeit sorgen.

Foto: La voix de survivant(e)s

Das Auditorium im Cercle Cité in Luxemburg-Stadt ist am vergangenen Montagabend fast bis auf den letzten Platz besetzt. In der ersten Reihe sitzt Justizministerin Elisabeth Margue (CSV) umgeben von Vertreter*innen der Staatsanwaltschaft, Journalist*innen, Mitarbeitenden sozialer Einrichtungen, und auch Betroffenen von (sexualisierter) Gewalt und ihren Angehörigen.

Es herrscht betretenes Schweigen, als Ana Pinto, Präsidentin des Opferhilfevereins „La voix de survivant(e)s“ (LVDS), schockierende Zahlen zu geschlechtsspezifischer Gewalt in Luxemburg vorliest. mehr lesen / lire plus

Informationszugangsrecht: Was lange währt …

Seit 20 Jahren ringen der Presserat und die Association luxembourgeoise des journalistes professionnels (ALJP) mit der luxemburgischen Regierung um eine gesetzliche Grundlage für ein Informationszugangsrecht für Journalist*innen. Was ist nun vom vorläufigen Ergebnis zu halten?

(Foto: Dan Dimmock/Unsplash)

Was lange währt, wird endlich gut, lautet ein deutsches Sprichwort. In Spanien dagegen geht es etwas pessimistischer zu. „Quien espera, desespera“ – Wer wartet, verzweifelt. Schon in den Anfängen der nervlichen Zerreißprobe zwischen Anliegen und Hinhaltung forderte die Journalist*innenseite eine Verankerung des Informationszugangsrechts in die „Loi sur la liberté d’expression dans les médias“ (der Name des Pressegesetzes, das 2004 verabschiedet wurde). Bekommen haben sie das mit dem neuen Entwurf, der in Änderungen von drei verschiedenen Gesetzestexten besteht, immer noch nicht. mehr lesen / lire plus

Justice internationale : Les règles communes s’appliquent à tout le monde

La Cour pénale internationale est sous la pression d’Israël et des États-Unis, alors que son procureur pourrait émettre des mandats d’arrêt contre de hauts responsables de l’État hébreu, dont Benyamin Netanyahou, pour de possibles crimes de guerre commis à Gaza.

(Photo : Tingey Injury Law Firm/Unsaplash)

La rumeur bruissait depuis des semaines : la Cour pénale internationale (CPI) pourrait émettre des mandats d’arrêt internationaux contre le chef du gouvernement israélien, Benyamin Netanyahou, son ministre de la Défense, Yoav Gallant, et le chef d’état-major de Tsahal, le général Herzi Halevi. Le cours des choses s’est accéléré ce vendredi 3 mai, quand le procureur de la CPI, Karim Khan, a publié un communiqué dans lequel il met en garde « les individus qui menacent » son bureau et ses fonctionnaires. mehr lesen / lire plus

Génocide des Tutsi·es au Rwanda en 1994 (4/4) : Ce que le mot génocide ne dit pas

Le Rwanda commémore cette année les 30 ans du génocide des Tutsi·es. Au centre de la mécanique infernale des tueries se trouvait le colonel Théoneste Bagosora, dont nous avons couvert le procès devant la justice internationale en 2005. D’abord prononcée à perpétuité, sa peine a été ramenée à 35 ans de prison en appel. Il n’a jamais exprimé le moindre remords pour la mort des 800.000 victimes du génocide, en grande majorité tutsies.

Le colonel Bagosora n’a jamais exprimé le moindre remords pour le génocide des Tutsi·es. (Dessin : Isabelle Cridlig)

« Bagosora a fait exactement ce que je conseillais de faire à mes clients arrêtés en possession de marijuana quand j’étais avocat : dire à la police qu’ils ne savent pas de quoi il s’agit », s’agace le procureur Drew White à la sortie de prétoire où nous le croisons ce 16 octobre 2005. mehr lesen / lire plus

Génocide des Tuts·ies au Rwanda en 1994 (3/4): Tué·es pour le crime d’être né·es

L’attentat contre le président rwandais, le 6 avril 1994, a été le signal du déclenchement du génocide des Tutsi·es. Dans les heures qui ont suivi, le colonel Bagosora s’est imposé en homme fort du pays, permettant la mise en œuvre du plan d’extermination. Suite de notre série consacrée au procès du cerveau du génocide devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda, auquel nous avions assisté en 2005.

Le colonel Bagosora face au juge Eric Møse, président de la première chambre du TPIR à Arusha, en octobre 2005. (Dessin : Isabelle Cridlig)

Un coup d’État ? « Non, il s’agissait d’un comité de crise pour gérer les affaires sécuritaires. » mehr lesen / lire plus

Génocide des Tutsi·es au Rwanda en 1994 (2/4) : « Je rentre à Kigali pour préparer l’Apocalypse »

Le colonel Bagosora est considéré comme le cerveau du génocide des Tutsi·es au Rwanda. Rattrapé par la justice internationale, il avait été longuement interrogé devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) à l’automne 2005, au cours d’un procès que nous avions couvert pour plusieurs médias internationaux. Deuxième volet de notre série consacré au jugement du « colonel de l’Apocalypse ».

Face au procureur, Bagosora se renfrogne, fait mine de ne pas entendre les questions, hausse le ton. (Dessin : Isabelle Cridlig)

« Une prison cinq étoiles » : l’expression est de Carla Del Ponte, procureure du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) de 1999 à 2003. À Arusha, où était installée la juridiction de l’ONU, la formule a fait florès au sein de la population pour désigner le centre de détention où étaient incarcérés d’anciens hauts responsables hutus rwandais. mehr lesen / lire plus

Häusliche Gewalt: „Graves dysfonctionnements“

In einer Pressemitteilung beklagt die Organisation La voix des survivant-es gravierende Missstände im Umgang mit Fällen von häuslicher Gewalt. Viele Betroffene, so die Kritik, hätten das Gefühl, nicht ernst genommen zu werden. Die Anwaltskosten, die auf Klage erstattende Opfer zukämen, seien vor allem für Alleinerziehende eine unzumutbare finanzielle Belastung. La voix des survivant(e)s will dem nicht länger tatenlos zusehen. Ende März wiesen sie zunächst Polizeiminister Léon Gloden (CSV) anlässlich einer Unterredung auf mangelnde Weiterbildungen bei Polizei und Gerichten in puncto häuslicher Gewalt hin; anschließend trafen sie Justizministerin Elisabeth Margue (CSV). In der Proposition de loi, die sie im Rahmen dieses Treffens vorlegten, fordern sie gleich mehrere Maßnahmen. mehr lesen / lire plus

Génocide des Tutsi-es au Rwanda en 1994 (1/4) : Les racines du mal

Le Rwanda commémore, en ce mois d’avril, les 30 ans du génocide des Tutsi-es. À cette occasion, le woxx revient dans une série de quatre articles sur le parcours de celui considéré comme le cerveau du génocide : le colonel Théoneste Bagosora. Il avait été jugé et condamné par le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), à l’issue d’un procès auquel nous avions assisté en 2005, dans le nord de la Tanzanie.

Le colonel Théoneste Bagosora lors de son interrogatoire principal devant le TPIR, en octobre 2005. (Dessin d’audience : Isabelle Cridlig)

La chemise couleur fuchsia détonne sous le costume sombre. L’effet est garanti face à la petite meute de cameramen et photographes dont les images vont faire le tour du monde dans quelques instants. mehr lesen / lire plus

Bettelverbot verboten

Am vergangenen Dienstag informierte Innenministerin Taina Bofferding (LSAP) im Rahmen einer Pressemitteilung, dass Betteln in Luxemburg-Stadt erlaubt bleibt. Die Abänderung der kommunalen Polizeiverordnung, die der hauptstädtische Gemeinderat am 27. März beschlossen hatte, könne aus juristischen Gründen nicht umgesetzt werden. Seit Anfang des Jahres gibt es eine neue Prozedur, bei der das Innenministerium kommunale Polizeiverordnungen auf ihre Rechtmäßigkeit überprüft. Das Bettelverbot sei weder mit nationalem noch mit internationalem Recht vereinbar, so Bofferding. Bereits wenige Stunden später reagierte der DP-CSV-Schöff*innenrat von Luxemburg-Stadt: Man werde die Entscheidung des Innenministeriums vor dem Verwaltungsgericht anfechten. Die nationale Gesetzeslage sei nicht so eindeutig, wie Bofferding dies behaupte. mehr lesen / lire plus

Jugendstrafgesetz: Lob und Kritik von der CCDH

Vor einem Jahr legte die Regierung drei Gesetzentwürfe zum Schutz Minderjähriger vor: ein Jugendstrafgesetz, ein Jugendschutzgesetz, und ein Gesetz zu den Rechten von Minderjährigen, die Opfer oder Zeuge einer Straftat geworden sind. Die Reform ist sehr zum Wohlgefallen der Menschenrechtskommission (CCDH), das machte sie bereits in ihren Gutachten zu den beiden letztgenannten Entwürfen deutlich. Insgesamt begrüßt sie die Herangehensweise, Jugendschutz und Jugendstrafrecht voneinander getrennt zu behandeln; eine Unterscheidung, die in der aktuell geltenden Rechtslage nicht vorgesehen ist. Nun liegt auch das CCDH-Gutachten zum Jugendstrafgesetz vor. Darin äußert sie viel Lob, aber auch wesentliche Kritikpunkte. Einer davon betrifft das Strafmündigkeitsalter, das laut Entwurf erstmals festgeschrieben wird, und zwar auf 13 Jahre. mehr lesen / lire plus

Raphaël Halet reconnu comme lanceur d’alerte par la CEDH

La Cour européenne des droits de l’homme a reconnu la qualité de lanceur d’alerte à Raphaël Halet, dans un arrêt rendu ce mardi 14 février. Le Lorrain est l’un des deux anciens employés de PWC à l’origine du scandale fiscal des LuxLeaks. Cet arrêt désavoue les condamnations prononcées au Luxembourg contre Raphaël Halet.

CEDH LuxLeaks Halet Luxembourg

Raphaël Halet et son épouse découvrent l’arrêt de la CEDH. (Photo : Fabien Grasser)

La lecture de l’arrêt a laissé Raphaël Halet sans voix pendant de longues minutes, ce mardi 14 février. Cette victoire devant la Cour européenne des droits de l’homme est l’aboutissement d’un combat judiciaire de neuf ans, à la suite duquel il obtient finalement le statut de lanceur d’alerte que lui avait refusé la justice luxembourgeoise. mehr lesen / lire plus

Kritik der Menschenrechtskommission: Wie bestraft man Diskriminierung?

Wer eine Straftat begeht und dabei andere diskriminiert, soll nach dem Willen des Justizministeriums künftig mit härteren Strafen rechnen. Was hält die Menschenrechtskommission von dem Gesetzesprojekt?

Wie gut ist das Gesetz durchdacht, wonach die Diskriminierung anderer demnächst bei Strafverfahren als Teil eines Tatmotivs als erschwerender Umstand geahndet werden kann? Das luxemburgische Justizministerium legte das Gesetzesprojekt im Juni vor, nun kommentierte es die Menschenrechtskommission (CCDH). Deren Beurteilung ist durchwachsen und beginnt mit der Feststellung, wie lange das Projekt auf sich warten ließ: Bereits 2002 hatte die European Commission against Racism and Intolerance (ECRI) Luxemburg die Auflage eines entsprechenden Gesetzes empfohlen, weitere internationale Forderungen in diese Richtung folgten. mehr lesen / lire plus

Am Bistro mat der woxx #224 – Bodycams fir Polizist*innen: Firwat déi vill Kritik?

All Woch bitt d’woxx Iech an hirem Podcast en Abléck an hir journalistesch Aarbecht a beliicht d’Hannergrënn vun engem Artikel.

Leschte Summer gouf e Gesetzeprojet deponéiert, deen de Gebrauch vu Bodycams duerch Polizist*innen reegele sollt. Mëttlerweil goufen zéng Avis’en dozou verëffentlecht. Niewt punktuellem Luew fir de Projet insgesamt, beinhalten dës Avis’en och vill Kritik. Wat sinn d’Haaptvirwërf? Wou ass dee gréissten Ännerungsbedarf? A gëtt de Projet de Loi dem Usproch gerecht, souwuel d’Polizist*innen wéi och d’Bierger*innen viru Gewalt ze schützen? Dat si Froen, déi d’Journalistinnen Isabel Spigarelli an Tessie Jakobs an eiser aktueller Podcast-Folleg beschwätzen.

Link zum Artikel, iwwer dee mir schwätzen:
Bodycams: Vorgegaukelte Objektivität

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Manifestation non déclarée : les anti-nucléaires de Bure relaxés

La cour d’appel de Nancy a relaxé, jeudi 26 janvier, sept opposant-es au projet de poubelle nucléaire Cigéo à Bure, poursuivi-es dans le cadre de leur action militante. Cette décision, favorable à la liberté d’expression et de réunion, intervient dans un contexte de criminalisation croissante des mouvements environnementaux en France.

Bure manifestation réseau sortir du nucléaire

Manifestation du réseau Sortir du nucléaire contre le projet Cigéo, le 15 mai 2016. (Photo : Wiki Commons)

L’arrêt rendu jeudi 26 janvier par la cour d’appel de Nancy a une saveur de victoire politique pour les opposant-es au projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires à Bure. Le tribunal a relaxé trois femmes et quatre hommes de la plupart des infractions qui leur étaient reprochés. mehr lesen / lire plus

Bodycams: Vorgegaukelte Objektivität

In den vergangenen Monaten stieß der Gesetzentwurf zur Einführung von Bodycams für Polizist*innen auf Kritik. Während die einen sich einen präziser formulierten Text wünschen, stellen andere die Datenlage, mit welcher der Einsatz solcher Kameras gerechtfertigt wird, grundsätzlich infrage.

Tritt das Gesetz so wie vorgesehen in Kraft, sind ab nächsten Jahr 1.682 Polizist*innen mit Bodycams ausgestattet. (Sanderflight/wikimedia commons)

Im Koalitionsabkommen war es vorgesehen, nun soll es Realität werden: Die Polizei wird mit Bodycams ausgestattet; seit August 2022 liegt der entsprechende Gesetzentwurf vor. Er soll legale Klarheit bezüglich gleich mehrerer Aspekte schaffen: Unter welchen Umständen können Bodycams aktiviert werden? Wer erhält Zugang zu den Aufnahmen? mehr lesen / lire plus

Denkmalschutz: Umkehr der Beweislast erneut in der Diskussion

Wer alte Gebäude abreißen will, muss belegen, dass diese denkmalschützerischen Ansprüchen nicht gerecht werden. Das verlangt die Petition 2477, die fast am Ziel der 4.500 Unterschriften angelangt ist.

Foto: woxx

Knapp ein Jahr nachdem das jüngste Denkmalschutzgesetz verabschiedet wurde, findet derzeit in Mersch eine öffentliche Anhörung statt, bei der die Bevölkerung dazu aufgerufen ist, zu dem von der staatlichen Denkmalschutzbehörde INPA ausgearbeiteten Klassifizierungsinventar Stellung zu nehmen. Die Prozedur dauert noch bis zum 1. März an und kann über das Portal enquetes.public.lu eingesehen werden.

Es handelt sich um das erste Verfahren dieser Art, so wie es die neue Gesetzgebung für jede Gemeinde vorsieht. mehr lesen / lire plus

Public Forum: Jugendschutz & Jugendstrafrecht

Sind die geplanten Änderungen ausreichend? Seit die Gesetzentwürfe zu Jugendschutz und Jugendstrafrecht im April 2022 deponiert wurden, steht diese Frage im Raum. Am 26. Januar wird sie anlässlich eines Public Forum öffentlich zur Diskussion gestellt. Eingeleitet wird der entsprechende Themenabend im Merscher Kulturhaus mit der Vorführung von Roland Meyers Theaterstück „King Tel Mo Rei“. Darin erzählt Meyer die Geschichte, die er 2017 mit seinem preisgekrönten Roman „Tel Mo“ begonnen hat, weiter. Im Zentrum steht der in Luxemburg lebende „Systemsprenger“ Telmo. Das Theaterstück setzt vier Jahre nach der Handlung des Romans an: Telmo sitzt nun wegen Drogenverkaufs in Jugendhaft. „Fir seng Mamm, fir seng Betreier, fir d’Police an d’Justiz a schlussendlech fir eis all stellt sech d’Fro, wéi mat esou jonke Leit ëmgoen. mehr lesen / lire plus

Du Cameroun au Cambodge : Pertes et profits pour Socfin et Bolloré

La justice française donne raison à 145 Camerounais-es en ordonnant à la holding luxembourgeoise Socfin de leur transmettre des documents susceptibles de prouver qu’elle est en réalité dirigée par le groupe Bolloré. Ces riverains d’une plantation de palmiers à huile accusent Socfin d’empêcher leur accès à des terrains et de polluer l’environnement. La décision judiciaire intervient au moment où la multinationale réalise des profits records.

Les membres d’ONG luxembourgeoises et belges manifestent devant l’hôtel de Luxembourg où se tient l’assemblée générale de Socfin en 2019. (Photo : Initiative pour un devoir de vigilance)

Trois lieux, trois ambiances, mais un seul et même combat : ce mercredi 14 décembre, un avocat parisien, des villageois-es camerounais-es et cambodgien-nes témoignent par visioconférence du bras de fer engagé depuis plus de 10 ans avec le milliardaire français Vincent Bolloré. mehr lesen / lire plus